Dans cet article, nous explorerons en profondeur tout ce qui concerne HP-41. De ses origines historiques à sa pertinence aujourd’hui, en passant par ses différents aspects et applications. HP-41 est un sujet d'une grande importance et a suscité l'intérêt des experts et du grand public. Dans cette optique, nous approfondirons sa signification, son impact et son évolution au fil du temps. De même, nous analyserons les différentes perspectives et approches qui ont été présentées, ainsi que les implications et conséquences que cela a eues dans divers domaines. Poursuivez votre lecture pour découvrir tout ce que vous devez savoir sur HP-41 et son influence sur le monde moderne.
La HP-41 est une calculatrice programmable commercialisée par Hewlett-Packard en 1979. Pour l'époque, ses fonctionnalités et ses nombreux accessoires la rendent proche d'un ordinateur de poche.
Ses principales caractéristiques sont :
HP offrait en outre la possibilité de développer et commercialiser ses propres modules d'extension.
Son mode de logique de calcul était la notation polonaise inversée qui lui permettait d'empiler les résultats intermédiaires et de faciliter le passage d'arguments aux sous-programmes.
Elle comportait toutefois dans sa version de base une faible quantité de mémoire, qui pouvait être étendue par modules, mais HP offrait également des versions HP-41CV et HP-41CX, plus puissantes.
Elle était à l'époque très utilisée par les ingénieurs et les financiers. Ses capacités ont amené la NASA à la sélectionner pour être emportée dans neuf missions de la navette spatiale américaine pour servir en cas de problème sur l'ordinateur principal (la calculatrice HP-65 avait déjà été utilisée aux mêmes fins dans le cadre d'Apollo-Soyouz).
L'évolution rapide de la micro-informatique et des calculatrices programmables en BASIC condamna ce modèle qui reste cependant un des grands jalons du progrès en matière de programmation.
Elle donna en outre lieu à la création de nombreux clubs de passionnés, surtout dès le moment où l'on réussit à craquer son code interne et à accéder ainsi aux registres de la machine et à découvrir des fonctions non documentées. Ce mode de programmation spécial était appelé « programmation synthétique ».
En France, Jean-Jacques Dhénin et Philippe Descamps publièrent en 1982 aux Éditions du PSI un ouvrage intitulé Programmer HP-41 qui fournissait, entre autres, les moyens de traiter les tableaux et matrices. Par la suite, Stéphane Barizien et Jean-Jacques Dhénin réalisèrent un module (appelé Paname) de 128 fonctions.