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Membre du sénat conservateur |
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Duc | |
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Comte de l'Empire |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Nationalité | |
Activités | |
Famille | |
Père |
René Hugues Timoléon de Cossé-Brissac (d) |
Mère |
Marie Anne Hocquart de Montfermeil (d) |
Conjoints | |
Enfants |
Timoléon de Cossé-Brissac Emmanuel de Cossé-Brissac (d) |
Grade militaire |
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Hyacinthe Hugues Timoléon de Cossé-Brissac, duc de Cossé, né le à Paris où il est mort le , 8, rue du Pot-de-Fer dans le Ve arrondissement, est un militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles. Il est inhumé au Panthéon.
Il naît à Paris le , issu de la maison de Cossé-Brissac, dont la devise : « Virtute, tempore », se lit au fronton du château de Brissac, et dont le nom a été illustré par quatre maréchaux de France.
Il épouse 1° le , Marie Louise Antoinette Charlotte Françoise Constance de Vignacourt (1750-1778), ils ont trois enfants:
- 2° le , Françoise Dorothée d'Orléans-Rothelin (+ 1818). Du second lit naissent les enfants suivants : Dorothée Hyacinthe Louise ; Edme Félicité Joséphine ; Emmanuel de Cossé-Brissac (1793-1870) ; Augustine Charlotte Louise (1796-1866) et Blanche Joséphine (1797-1854)
Maréchal de camp du roi Louis XVI en 1788, lieutenant général en 1791, il est un moment emprisonné en 1793.
Rallié à l'Empire, il devient chambellan de Madame-Mère, mère de Napoléon Ier. L'Empereur le nomme le , membre du Sénat conservateur, où il siège assez obscurément jusqu'à sa mort.
Le , il est créé comte de l'Empire.
Le duc de Cossé meurt à Paris le . Il repose au Panthéon de Paris.
La duchesse d'Abrantès brosse de lui un portrait peu flatteur :
« C'était le meilleur des hommes, poli, doux et le plus inoffensif qu'il y ait jamais eu au monde. Il était laid, vieux et de plus un peu bossu ; je crois même qu'il l'était tout à fait… Il avait habituellement des coliques et était donc obligé de sortir au moins quinze fois du salon de Madame lorsqu'il était de service. Cette ouverture et fermeture de porte agissait sur les nerfs de Madame, et lui inspira une sorte d'antipathie contre ce pauvre M. de Brissac… C'était surtout au spectacle que la chose était insoutenable. Cependant, quand il sortait, il n'y avait à craindre que le courant d'air; mais lorsqu'il ne sortait pas, oh ! alors c'était vraiment tragique. »
Figure | Blasonnement |
Armes des Cossé-Brissac | |
Armes du comte de Cossé-Brissac et de l'Empire
De sable, aux trois feuilles de scie d'or posées en fasce ; au chef à sénestre lion d'argent lampassé de gueules, et franc-quartier des comtes sénateurs.,,
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