Hypothèse arménienne

Dans le monde d'aujourd'hui, Hypothèse arménienne est devenu de plus en plus pertinent dans différents domaines de la société. De la politique à la technologie, en passant par le divertissement et la culture, Hypothèse arménienne est devenu un sujet central qui suscite l'intérêt des personnes de tous âges et de toutes conditions. Son impact est indéniable et sa présence se ressent dans tous les aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons les nombreuses facettes de Hypothèse arménienne, en analysant son influence dans différents domaines et en examinant comment elle a façonné notre façon de penser et d'agir dans le monde moderne.

Paysage du plateau arménien

L'hypothèse arménienne du foyer originel des langues indo-européennes, proposée en 1985 par le géorgien Tamaz V. Gamkrelidze et le linguiste russe Viatcheslav Vsevolodovitch Ivanov, suggérait que l'indo-européen commun aurait été parlé au cours du IVe millénaire av. J.-C. dans « l'Anatolie orientale, le Caucase du Sud et le nord de la Mésopotamie ».

Description

Cette théorie excluait les langues anatoliennes de son scénario. Elle s'appuyait sur la théorie glottalique : les particularités phonologiques qu'elle avançait auraient été mieux conservées dans les langues germaniques et dans la langue arménienne, laquelle serait restée in situ et aurait été représentative d'une forme ancestrale des langues indo-européennes. L'indo-européen commun se serait ensuite diffusé dans la steppe pontique selon l'idée de 1873 de Friedrich Max Müller.

La théorie supposait une expansion indo-européenne lors de l'Âge du bronze, et envisageait la possibilité que les Kassites fussent indo-européens.

Comparaison

L'hypothèse arménienne était celle qui proposait la date la plus tardive pour l'indo-européen commun, environ un millénaire plus tard que le foyer originel proposé par l'hypothèse kourgane. Elle s'opposait donc encore plus à l'hypothèse anatolienne, malgré la proximité géographique des foyers suggérés, car l'écart de datation était alors d'environ quatre millénaires.

Références

Bibliographie

  • (en) T. V. Gamkrelidze et Viatcheslav Vsevolodovitch Ivanov, The Early History of Indo-European Languages, Scientific American,
  • (en) I.M. Diakonoff, The Prehistory of the Armenian People, 1984
  • (en) Robert Drews, The Coming of the Greeks (1988), plaidait pour une arrivée tardive des Grecs sur la base de l'hypothèse arménienne.
  • (en) Martiros Kavoukjian, Armenia, Subartu, and Sumer : the Indo-European homeland and ancient Mesopotamia, trans. N. Ouzounian, Montreal, 1987, (ISBN 0-921885-00-8)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes