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Naissance |
6e arrondissement de Paris, France |
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Nationalité | Française |
Décès |
(à 69 ans) Cannes, Alpes-Maritimes, France |
Profession |
Réalisateur Scénariste Acteur |
Jacques Doniol-Valcroze est un réalisateur, acteur et scénariste français, né le à Paris et mort le à Cannes.
D'abord journaliste et critique de cinéma à La Revue du cinéma, entre 1947 et 1949, il fonde, en 1951, les Cahiers du cinéma avec André Bazin, Joseph-Marie Lo Duca et l'appui financier de Léonide Keigel. À la fin des années 1950, il devient réalisateur et tourne des films à tonalité caustique, à l'exception de La Maison des bories, plus romantique.
Il a également beaucoup tourné en tant qu'acteur à la télévision, après avoir fait ses premières armes au cinéma dans le rôle principal, ainsi que celui du narrateur, pour Le Bel Âge de Pierre Kast.
En 1960, il signe le Manifeste des 121, déclaration sur le « droit à l'insoumission » dans le contexte de la guerre d'Algérie.
Il a été marié à l'actrice Françoise Brion dont il a eu deux enfants : Simon devenu acteur, et Diane devenue réalisatrice et scénariste.
En 1982, il réalisera le clip de la chanson de Dalida Confidences sur la fréquence.
Il meurt d'une rupture d'anévrisme, en 1989, alors qu’il assistait comme président du jury du Festival international de programmes audiovisuels documentaires de Biarritz (FIPADOC), à la projection d'Une saison de feuilles de Serge Leroy dans lequel il interprétait un réalisateur. Il est incinéré.
« Diplomate et courtois, élégant et plein d’humour, généreux et gros travailleur, écrivain au style stendhalien, cinéaste et homme de télévision, acteur dans de nombreux films, signataire du Manifeste des 121 pendant la Guerre d'Algérie, mendésiste sur le plan des idées politiques, défenseur de Langlois, fondateur en 1968 de la SRF et l'année suivante de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, Jacques Doniol-Valcroze était un véritable honnête homme. » Serge Toubiana
« Il avait un vrai talent de diplomate, et aurait pu faire une belle carrière, dans la Carrière avec un grand C, comme Gary ou Régis-Bastide. Il avait toutes les qualités requises : une extrême politesse, une extrême distinction, un art de concilier. Si j’emploie le mot diplomate, c’est sans connotation péjorative : il n’y avait rien de rusé ni d’hypocrite chez lui. Cette tolérance faisait qu’il savait parler aux gens, elle lui permettait d’aimer des choses très différentes de lui. » Éric Rohmer, Cahiers du cinéma no 425,