Aujourd'hui, Jakob Adlung est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Avec son impact sur la société moderne, Jakob Adlung est devenu un sujet de débat et de réflexion pour les individus de tous âges. De ses origines à son évolution actuelle, Jakob Adlung a suscité un intérêt sans précédent, devenant une référence pour comprendre les aspects fondamentaux de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'impact de Jakob Adlung sur différents aspects de la société, en analysant son influence dans diverses sphères et en offrant une perspective globale sur son importance aujourd'hui.
Naissance |
Bindersleben, Électorat de Mayence |
---|---|
Décès |
(à 63 ans) Erfurt, Électorat de Mayence |
Activité principale | Organiste, facteur d'instruments, musicographe, professeur, théoricien de la musique |
Maîtres | Johann Nikolaus Bach |
Jakob Adlung, ou Adelung, (Bindersleben – Erfurt ) est un organiste, facteur d'instruments, musicographe, professeur et théoricien de la musique allemand du XVIIIe siècle.
Il est né dans un village près d'Erfurt, fils de l'organiste David Adlung et de son épouse Dorothea Elisabetha Meuerin originaire de Tondorf. Son père fut son premier professeur. Il entra en 1711 à l'école primaire Sankt Andreas d'Erfurt puis en 1713 au lycée de cette même ville : il logeait alors chez Christian Reichardt, qui lui enseigna à jouer de l'orgue. Il étudia la philosophie, la philologie et la théologie à l'Université d'Iéna de 1723 à 1726, poursuivant l'apprentissage de l'orgue auprès de Johann Nikolaus Bach. Il se lia d'amitié à Weimar avec Johann Gottfried Walther auquel il empruntait ses livres sur la théorie de la musique. Il rédigea quelques livres sur le sujet, mais qui furent détruits lors de l'incendie de sa maison en 1736. Il retourna à Erfurt en 1737 et y succéda à Johann Heinrich Buttstett comme organiste de la Predigerkirche à la mort de celui-ci. Il conserva cette charge jusqu'à la fin de sa vie. Il fut également professeur de langues au lycée d'Erfurt en enseignant, selon son propre décompte, pas moins de 218 élèves à l'orgue et 284 en langues entre 1728 et 1762. Il fut également facteur d'instruments à clavier, et en construisit seize unités. Il avait épousé en 1732 Elisabeth Ritter, la fille du bourgmestre de Gross-Wanzleben, près de Magdebourg.
Il fait partie des quelques excellents musicographes allemands du XVIIIe siècle, tels Johann Mattheson, Lorenz Christoph Mizler, et Johann Gottfried Walther qui écrivirent des traités importants et très exhaustifs sur la théorie, l'esthétique et la pratique de la musique. Leurs travaux sont des sources d'information essentielles et encore incomplètement exploitées sur la musique baroque et son interprétation.
Ses écrits comprennent :
Son autobiographie se trouve dans l'avant-propos de la seconde partie de Musica mechanica organoedi.