Dans le monde d'aujourd'hui, Jandarma est un sujet qui a gagné en pertinence dans différents domaines de la société. De la politique à la culture populaire, Jandarma a attiré l'attention de millions de personnes à travers le monde. Au fil du temps, Jandarma est devenu un phénomène mondial qui a généré des débats, des controverses et, dans certains cas, un fervent suivi par ses adeptes. À mesure que le 21e siècle avance, Jandarma continue d'être un sujet d'intérêt et son influence se reflète dans la manière dont les gens interagissent, s'informent et interagissent les uns avec les autres. Dans cet article, nous explorerons l'impact de Jandarma sur la société actuelle et analyserons sa pertinence dans le monde moderne.
Jandarma | |
Un Jandarma stationné près d'un poste de gendarmerie à Izmir. | |
Situation | |
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Création | |
Type | Gendarmerie |
QJ central de la Jandarma | Ankara |
Langue | Turque |
Budget | 1,5 milliard $ |
Organisation | |
Effectifs | 195 000 réguliers |
Ministre de l'Intérieur | Süleyman Soylu |
Personnes clés | General Arif Çetin |
Organisations affiliées | Forces armées turques Armée de terre turque Ministère de la Défense Ministère de l'Intérieur |
Site web | |
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La Jandarma est le corps de gendarmerie nationale de la république de Turquie. Elle est issue des Karakullukçu, troupes chargées de la sécurité et du maintien de l'ordre sous l'Empire ottoman. Le statut de la gendarmerie ottomane (Zaptiye) est établi en 1839 sur le modèle de la gendarmerie française dans son organisation territoriale et sur le modèle italien pour sa dépendance fonctionnelle ; elle reçoit le nom de Jandarma en 1879. La Jandarma est, jusqu'en 2016, l'une des cinq composantes des Forces armées turques, pour ensuite être rattaché au Ministère de l'Intérieur turc.
La Jandarma est subordonnée jusqu'en 2016 pour les missions militaires et la formation du personnel à l'état-major des armées et pour les missions de sécurité publique, au ministère de l'Intérieur. Elle n'assure pas de prévôté. Le commandant de la Jandarma rend compte au ministre de l'Intérieur.
Le personnel de la gendarmerie est réparti en officiers, sous-officiers, gendarmes spécialisés, cadets, militaires du rang appelés, fonctionnaires et ouvriers civils. La gendarmerie turque compte environ 195 000 hommes.
Les missions traditionnelles de la Jandarma sont pratiquement identiques à celles de la gendarmerie nationale française, malgré quelques différences au niveau des règles de procédures pénale et administrative. Elle assure des missions de police judiciaire (essentiellement dans les zones rurales), de sécurité publique, de maintien de l'ordre et de police militaire.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) affirme avoir recensé en 2017 plus de 300 civils syriens abattus par la Jandarma à la frontière depuis le début de la guerre civile syrienne.
Dans son reportage publié dans le journal mensuel français d'opinion Le Monde diplomatique, la journaliste Laura-Maï Gaveriaux affirme que les forces spéciales de la Jandarma, le JÖH, ont participé en 2016 à la répression du PKK dans les villes à majorité kurdes de Turquie, où elles ont laissé de nombreuses inscriptions racistes et sexistes : « Ma chère Turquie, au nom de Dieu, nous te nettoyons : nous sommes le JÖH, nous sommes venus vous envoyer en enfer ! » ou encore « Les filles, nous sommes là, où êtes-vous ? — JÖH ».
En 2018, la Jandarma participe à l'opération Rameau d'olivier, dans le cadre de la guerre civile syrienne.
La gendarmerie turque est organisée de la manière suivante :
Le musée de la Jandarma a été créé afin de refléter l'évolution de l'organisation de la Gendarmerie dans l'ordre périodique depuis sa fondation ; d'exposer ses activités, ses actes héroïques, ses services dans l'histoire ; de protéger toutes sortes de biens culturels militaires liés à la Gendarmerie en les collectant et de les transmettre aux générations futures. Le musée de la Jandarma situé au quartier général du Martyr İsmail Selen à Beytepe, Ankara, est ouvert au public.
Modèle | Type | Quantité | Origine | Notes |
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Bayraktar TB2 | Drone de combat | 6 | Turquie | Drone de combat (MALE) disposant de missile MAM-C/L |
Modèle | Type | Calibre | Origine | Notes |
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P90 | Personal defense weapon | 5,7 mm | Belgique | |
MKA 1919 | Fusil de police | calibre 12 | Turquie | Arme semi-automatique reprenant l'aspect du M16A2. |
G41 | Fusil d'assaut | 5,56 mm | Allemagne/ Turquie | Produit sous licence par MKEK. |
LMG-K | Fusil mitrailleur | 7,62 mm | Allemagne de l'Est | Provient des stocks de la NVA. |
HK23E | Mitrailleuse légère | 5,56 mm | Allemagne/ Turquie | Produit sous licence par MKEK |
PKM | Mitrailleuse polyvalente | 7,62 mm | Allemagne de l'Est | Provient des stocks de la NVA. |
HK 69 | Lance-grenades | 40 mm | Allemagne | Tir des grenades lacrymogènes |
Nom | Type | Quantité | Origine | Notes |
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BTR-60PB | Blindé à roues 8×8 | 300 | Union soviétique | Modernisé |
Otokar Akrep | Blindé léger 4×4 | +250 | Turquie | Remplacé par le Cobra. |
Otokar Cobra | Blindé 4×4 | +200 | Turquie | |
Dragoon 300 (en) | Blindé à roues 4×4 | 60 | États-Unis | |
Condor (APC) | Blindé à roues 4×4 | 25 | Allemagne | Retiré du service ou stocké |
UR416 | Blindé à roues 4×4 | 30 | Allemagne | |
Cadillac V150/S | Blindé à roues 4×4 | 200 | États-Unis | |
S550 Shorland | 4×4 | +200 | Royaume-Uni | Remplace par le Cobra |
Nom | Type | Quantité | Origine | Notes |
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TAI T-129 ATAK | Attaque | 0 | Turquie | 18 commandés, les 3 premiers réceptionnés en |
S-70A28 Blackhawk | Transport | 21 | États-Unis | |
S-70A17 Blackhawk | Transport | 5 | États-Unis | |
AB205A1 | Transport | 14 | États-Unis | Modernisé par TAI |
Mi-17 IVA | Transport | 18 | Union soviétique | Modernisé par Aselsan |
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