Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons aborder le sujet de Jean-Luc Coatalem, un sujet qui a suscité intérêt et débat ces derniers temps. Jean-Luc Coatalem est une question qui touche un large spectre de société, des aspects personnels aux questions politiques, économiques et culturelles. Tout au long de cet article, nous explorerons différentes perspectives et mettrons en lumière différents aspects liés à Jean-Luc Coatalem, dans le but d'offrir une vision complète et objective de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Naissance |
Paris, France |
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Activité principale | |
Distinctions |
1998 : Bourse Cino Del Duca 2001 : Prix Amerigo-Vespucci et Prix Tristan-Corbière 2002 : Prix des Deux Magots et Prix Breizh (Prix Bretagne) 2012 : Prix Roger-Nimier et Prix des lecteurs du “Maine Libre” 2017 : Prix Femina essai et Prix de la langue française Grand prix Jean-Giono 2019 |
Langue d’écriture | Français |
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Jean-Luc Coatalem, né à Paris en 1959, est journaliste et écrivain français.
Jean-Luc Coatalem est d'origine bretonne (Finistère). Dans le sillage d’une famille d’officiers, Jean-Luc Coatalem passe son enfance en Polynésie à Tahiti et son adolescence à Madagascar. Les déménagements répétés lui donnent le goût de l’ailleurs et le rendront boulimique de voyages.
Revenu à Paris, il travaille dans l’édition puis collabore à Grands Reportages, Figaro Magazine, Vogue et Géo, où il est nommé rédacteur en chef adjoint. Il parcourt près de 80 pays, « à pied, à cheval, en ULM et en brise-glaces ».
À la trentaine, cet écrivain voyageur, romancier, nouvelliste et essayiste pour qui « tous les voyages finissent en livres et tout part d'une lecture », publie ses récits bourlingueurs (Mission au Paraguay, Suite indochinoise...) et des romans drolatiques comme Capitaine ou Le Fils du fakir (dont l’histoire est inspirée de la vie du fakir Ben-Ghou-Bey),.
En 1992, il est avec Nicolas Bouvier et Gilles Lapouge l'un des neuf signataires du Manifeste pour une littérature voyageuse, sous l'égide de Michel Le Bris.
En 2001, son Je suis dans les mers du Sud, essai sur Paul Gauguin, est distingué par quatre prix. Il confirme sa notoriété par une ode à la géographie et à l’errance, La consolation des voyages.
Il aborde ensuite l'écriture intimiste. Il faut se quitter déjà, paru en 2008, une errance mélancolique et amoureuse, entre Buenos Aires et Montevideo. Le Dernier roi d'Angkor, inspiré de la difficile adoption d'un orphelin cambogdien, évoque la déchirure d'avec un passé aboli.
Après Le Gouverneur d’Antipodia, huis-clos austral, il publie Nouilles froides à Pyongyang, récit de voyage sous la dictature de Kim Jong-Il.
Il est suivi de Fortune de mer, polar poétique qui se déroule à Ouessant, chez Stock, en 2015.
Avec "Mes pas vont ailleurs" (Stock, 2017), consacré à Victor Segalen, il a obtenu le Prix de la Langue française et le Prix Femina essai. Ce livre est traduit en chinois.
"La part du fils" est publié par Stock en 2019. Cet ouvrage a été sur les listes de l'Académie française, finaliste au Renaudot et au Goncourt.
En 2002 et 2004, Jean-Luc Coatalem collabore avec Jacques de Loustal, pour deux albums de bande dessinée qu’il a scénarisés : Jolie mer de Chine et Rien de neuf à Fort-Bongo (Casterman, 2002 et 2004)en y incluant des références à Tintin d'Hergé qu'il apprécie particulièrement.
Il a reçu le Grand Prix Jean-Giono et a été le Choix Goncourt de la Géorgie.
Passionné d'art, il a participé à plusieurs ouvrages ou à des catalogues autour du sculpteur Denis Monfleur (La Table ronde), du peintre François Dilasser (éditions La Navire), de Miles Hyman (Locus Solus) et très prochainement de François Avril (Locus Solus).
Il a été élu "Écrivain de Marine", en 2021.
En collaboration avec le dessinateur Loustal.