Dans le monde d'aujourd'hui, Jean Samuel Guisan est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour les personnes de tous âges et de tous domaines d'expertise. Depuis son émergence, Jean Samuel Guisan a capté l’attention des individus et des experts, générant des débats, des recherches et des analyses autour de ses implications et répercussions dans différents domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur les aspects les plus pertinents liés à Jean Samuel Guisan, de son origine à ses éventuelles projections futures. Nous analyserons son impact sur la société, son influence sur la culture et son importance dans le domaine académique, dans le but de proposer une vision globale et actualisée de ce sujet si important aujourd'hui.
Jean Samuel Guisan, né à Avenches le et mort à Berne le , est un ingénieur suisse.
Cet ingénieur a travaillé dès 1771 au Suriname (Guyane néerlandaise à l'époque). Il occupait le poste de directeur des travaux agraires des possessions de son oncle. Il est remarqué lors d'un voyage par l'intendant Pierre-Victor Malouet en mission pour les compte du ministère français des colonies, qui lui propose de réaliser les mêmes travaux d'aménagement en Guyane voisine. Guisan effectuera l'essentiel de son travail en Guyane de 1777 à 1791 en y adaptant la technique de poldérisation partielle des berges qu'il avait appliquée au Suriname. Il va en particulier aménager le bas de l'Approuague qui deviendra une région agricole florissante et y construira le canal de Kaw, reliant le fleuve à la rivière et aux marais de Kaw. Le village de Guisanbourg (ainsi baptisé sous la Restauration en souvenir des travaux de Guisan, aujourd'hui abandonné) est la marque visible de son influence sur le développement de l'embouchure de l'Approuague.
Il assainit également le marécage jouxtant les fortifications de Cayenne et planifia la construction d'un canal de drainage des terres proches de la ville (canal réalisé plus tard par Pierre-Clément de Laussat).
À la suite de son opposition au gouverneur Lescalier et à ses démêlés avec le nouveau pouvoir révolutionnaire, il est destitué par l'Assemblée coloniale et quitte la Guyane en juillet 1791.
Rentré en Suisse, à Avenches, en 1792, il devient à Berne inspecteur général des ponts et chaussées de la République helvétique (1798-1801). Il décède le .