Dans cet article, nous aborderons le sujet de Jules Gheude, qui a acquis une grande importance dans différents domaines ces dernières années. Jules Gheude a suscité un grand intérêt et un grand débat tant dans la société que dans le monde universitaire, et son impact est devenu évident dans divers domaines, de la politique à la technologie. Tout au long de cet écrit, nous analyserons les différentes dimensions de Jules Gheude, explorant son origine, son développement et ses conséquences dans le monde d'aujourd'hui. Grâce à cette analyse complète, nous espérons fournir une compréhension plus approfondie de Jules Gheude et de son rôle dans la société contemporaine, ainsi que de ses implications potentielles pour l'avenir.
Jules Gheude, né à Braine-l'Alleud le , est un écrivain belge et militant wallon prônant le rattachisme.
Après une adolescence passée à Paris, où son père travaille à l’Agence commerciale de la SNCB, il poursuit des études de langues germaniques et commence sa carrière dans l’enseignement à Namur (1969-1974).
En 1973, il adhère au Rassemblement wallon et rejoint, un an plus tard, le cabinet de François Perin, ministre de la Réforme des Institutions. Il se spécialise notamment dans la presse flamande.
À la suite de la crise survenue au sein du Rassemblement wallon en 1976, il suit la mouvance Perin-Gol-Knoops et contribue à la fondation du PRLw (Parti des Réformes et de la Liberté, wallon). Il devient ainsi cosecrétaire de la Fédération namuroise de la nouvelle formation.
Proche collaborateur des présidents du PRL Jean Gol (1980) et Louis Michel (1982), il joue un rôle actif au niveau des relations publiques.
De 1983 à 2011, il exerce les fonctions de Directeur au Commissariat général aux Relations internationales de la Communauté française de Belgique (aujourd'hui Wallonie-Bruxelles International).
Le , il lance le « Manifeste pour la convocation des États généraux de Wallonie ». Après une année de préparation, des États Généraux de Wallonie se sont tenus dans les locaux de l'université de Liège, le , et ont pu rassembler 150 personnes. Ils se sont clôturés par un vote : 74,4 % des participants se sont prononcés pour la réunion de la Wallonie à la France, 16,2 % pour un État wallon indépendant, 9,4 % pour un État Wallonie-Bruxelles.
Depuis , Jules Gheude coordonne les travaux du Gewif (Groupe d'études pour la Wallonie intégrée à la France).
Son intérêt marqué pour la problématique communautaire belge l’a amené à écrire plusieurs ouvrages.
Jules Gheude est resté fort proche de François Perin, qui lui a remis la totalité de ses archives personnelles et qui a préfacé son essai Lettre à un ami français - De la disparition de la Belgique (2013).
Collabore régulièrement à la revue du mouvement flamand Doorbraak.