Dans le monde d'aujourd'hui, Kernel-based mode-setting est devenu un sujet d'actualité et de débat dans la société. Avec les progrès de la technologie et les changements de mode de vie, Kernel-based mode-setting est devenu de plus en plus important dans nos vies. Tant au niveau personnel que global, l'influence de Kernel-based mode-setting est perceptible sous différents aspects, générant des discussions et des réflexions dans divers domaines. Dans cet article, nous explorerons l'importance de Kernel-based mode-setting dans le contexte actuel, ainsi que ses implications dans différents domaines de notre vie quotidienne.

Kernel-based mode-setting, ou KMS, est un procédé permettant la gestion des modes d'affichage par le noyau Linux et celui des systèmes BSD.
Le KMS s'oppose à l'UMS (user mode setting).
Sans KMS c'est le pilote graphique qui se charge de la gestion des modes d'affichage graphique, ce qui est loin d'être optimal. En effet, ce travail est déjà fait une première fois par le noyau pour l'affichage des messages durant la phase de démarrage, avant que le pilote graphique ne réinitialise à nouveau le mode d'affichage lorsqu'il est lui-même chargé.
Sur la base de KMS, une gestion plus élaborée a ensuite été développée : Atomic mode-setting.
KMS fut intégré au noyau Linux depuis la version du kernel 2.6.29[1]. Compatible dans un premier temps uniquement avec les architectures Intel, son usage a été étendu aux autres architectures (Radeon via les pilotes radeon à compter du noyau Linux 2.6.31[2], puis GeForce via nouveau).
Il est peu à peu porté sur les systèmes BSD :
KMS permet :
La gestion atomique des modes d'affichage (en anglais atomic mode-setting) introduit la validation du mode vidéo demandé avant son activation, répondant ainsi au problème de détection tardive des échecs de configuration, ainsi que la synchronisation des Planes avec un VBLANK, ce qui n'était pas le cas avant[4].