Dans cet article, nous allons aborder le sujet de László Passuth sous différents angles, dans le but d'approfondir son importance et sa pertinence aujourd'hui. László Passuth est un sujet qui a suscité un grand intérêt dans différents domaines, car son influence s'étend à de nombreux domaines de la société. Tout au long de cet article, nous analyserons les différentes facettes de László Passuth, explorant son impact sur la vie quotidienne, son évolution dans le temps et ses éventuelles implications futures. De plus, nous examinerons les opinions et les réflexions d’experts dans le domaine, ainsi que les expériences de personnes qui ont vécu de près l’influence de László Passuth dans leur vie. En bref, cet article vise à offrir une vision profonde et complète de László Passuth, afin d'enrichir la connaissance et la compréhension de ce sujet passionnant.
Naissance |
Budapest, Autriche-Hongrie |
---|---|
Décès |
Balatonfüred, Hongrie |
Activité principale |
Langue d’écriture | hongrois |
---|---|
Genres |
László Passuth (en hongrois, Passuth László), né à Budapest le et mort à Balatonfüred le , est un écrivain d’expression hongroise, père de l’historienne de l’art Krisztina Passuth.
De 1919 à 1950, il travaille principalement comme employé de banque puis, à partir de 1960 jusqu'à sa retraite, dans un bureau de traduction nationale. Il obtient un diplôme à la Faculté de droit de l'Université de Szeged.
Ses premiers essais en tant qu’écrivain paraissent dans les années 1920, dans plusieurs revues. Son premier roman, Eurasie, paraît en 1937, suivi par un certain nombre de romans, d’une préparation philologique approfondie, et d’un style exceptionnellement sophistiqué.
Le roman historique Le dieu de la pluie pleure sur le Mexique est son premier grand succès, en 1939. En 1945, il est élu secrétaire général du PEN club hongrois, fonction qu’il assume jusqu'en 1960. Cependant, les troubles politiques entre 1948 et 1957 le font officiellement expulser de l'Association des écrivains hongrois.
Ses principaux ouvrages sont traduits à partir de 1956, en marge de la vie littéraire hongroise, toujours figée dans la sphère communiste, où son œuvre était seulement tolérée.