Le thème de L. Scott Caldwell est un thème présent tout au long de l’histoire de l’humanité. Depuis l’Antiquité, L. Scott Caldwell est une source d’étude, de discussion et de réflexion. Son importance transcende les barrières culturelles, générationnelles et géographiques, couvrant des aspects aussi divers que la philosophie, la science, la politique, l'art et la vie quotidienne. Au fil des siècles, L. Scott Caldwell a fait l'objet de multiples interprétations et a acquis des significations différentes selon le contexte dans lequel il s'inscrit. Dans cet article, nous plongerons dans l’univers fascinant de L. Scott Caldwell, en explorant ses différentes facettes et sa pertinence aujourd’hui.
Nom de naissance | Laverne Scott |
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Surnom | Scottie Caldwell |
Naissance |
Chicago, États-Unis |
Nationalité | Américaine |
Séries notables | Lost : Les Disparus |
Laverne Scott Caldwell est une actrice de cinéma et de théâtre américaine née le à Chicago dans l'Illinois, aux États-Unis.
Au cinéma, elle incarne, dans des seconds rôles, des personnalités souvent rassurantes ou dotées d'une certaine autorité : juges, agents fédéraux, médecins, nounous. À la télévision, L. Scott Caldwell est apparue dans plus de 30 séries télévisées, dont Melrose Place, Urgences, Lost : Les Disparus, ou encore Cold Case : Affaires classées. Le théâtre reste le domaine où L. Scott Caldwell exprime le plus librement sa sensibilité : depuis 1980, elle a joué dans près de 20 pièces à Broadway.
« Je ne me suis jamais dit 'je veux être actrice', ou quoi que ce soit dans le genre. En revanche, j'aimais le cinéma et ce que Bette Davis et Loretta Young faisaient. »
— St. Louis Post, 1er juillet 1988
« La toute première pièce de théâtre que ma mère ai vue était une pièce dans laquelle je jouais ! »
— Chicago Tribune, 30 novembre 1997
« Je n'ai jamais pris de cours de danse étant enfant, ni quoi que ce soit d'autre... en fait, je n'ai tout simplement jamais été initiée à l'art. Mais j'aimais faire semblant, juste pour me cacher dans les placards, inventer des histoires et faire mine d'être quelqu'un d'autre. »
— Chicago Tribune, 30 novembre 1997
« On ne s'arrête de jouer que lorsqu'on le ressent. Dans ces moments-là, tout s'arrête et il vous faut redémarrer à zéro lorsque vous remontez sur les planches. Il n'y a rien de plus intense que le théâtre. »
— The Plain Dealer, 14 décembre 1997
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