La Femme de l'autre

Dans l'article d'aujourd'hui, nous parlerons de La Femme de l'autre, un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces dernières années. La Femme de l'autre est un phénomène qui a suscité un grand intérêt dans la société mondiale, que ce soit en raison de son impact sur la vie des gens, de sa pertinence dans le domaine professionnel ou de son influence sur la culture populaire. Tout au long de cet article, nous analyserons en détail les aspects les plus pertinents de La Femme de l'autre, depuis ses origines jusqu'à son état actuel, en explorant ses implications dans différents contextes et en offrant une vue complète de sa signification et de sa portée. De plus, nous examinerons les avis d'experts sur le sujet et présenterons certaines de nos propres réflexions sur ce phénomène, dans le but de fournir une perspective complète et enrichissante au lecteur.

La Femme de l'autre
Description de cette image, également commentée ci-après
Titre original Desire Me
Réalisation George Cukor / Mervyn LeRoy
Scénario Zoe Akins
Marguerite Roberts
Casey Robinson
Acteurs principaux
Sociétés de production MGM
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame
Durée 91 minutes
Sortie 1947

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Femme de l'autre (titre original : Desire Me ou encore Mountain of my love) est un film américain réalisé par George Cukor, puis par Mervyn LeRoy, sorti en 1947. L’histoire est inspirée d’un roman de Leonhard Frank, Karl et Anna.

Synopsis

Marise Aubert aime son mari, Paul (Robert Mitchum), mais souffre d'un sentiment de culpabilité qu’elle confie au Dr Leclair (Cecil Humphreys), psychiatre. L’annonce de la mort de son mari, tué par les Allemands la bouleverse. Jean (Richard Hart), un ami de Paul, aide Marise à surmonter sa peine et finit par la séduire. Mais un jour, Paul réapparaît...

Fiche technique

Distribution

Autour du film

  • Désavoué par ses deux réalisateurs, ce film est l'un des rares à ne pas faire mention de leurs noms au générique.
  • Alors que le tournage a lieu au large de Rocky Carmel, alors qu'ils tournaient une scène de pêche que le scénario situe au large des côtes bretonnes, des poteaux Michelin, du genêt breton furent réquisitionnés. La tempête n'avait pas été commandée. Elle surgit tout de même aussi violente qu'à DOUARNENEZ. Heureusement pour la vedette, des vrais pêcheurs avaient été engagés pour la figuration. Miss GARSON fut récupérée au fond de l'océan par l'un d'eux. Contusionnée, elle fut hospitalisée. Pour sa part, Richard HART s'en tire avec un poignet foulé. (journal du 4 Mai 1946)

Notes et références

  1. Peter Hay (trad. de l'anglais par Paule Pagliano), Metro Goldwyn Mayer, Splendeur du cinéma américain, Paris, Bordas, , 335 p. (ISBN 2-04-019778-8) .

Voir aussi

Liens externes