Dans le monde d'aujourd'hui, Le Mont Chef est devenu un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence. Que ce soit dans le domaine scientifique, dans les débats politiques ou dans la vie de tous les jours, Le Mont Chef a retenu l'attention des experts et des citoyens. Son impact sur différents aspects de la société en fait un sujet digne d’analyse et de réflexion. Dans cet article, nous explorerons les différentes dimensions de Le Mont Chef, de son origine à ses implications dans le présent et le futur. À travers différentes perspectives et opinions, nous cherchons à faire la lumière sur ce sujet et à favoriser une compréhension plus approfondie de son importance et de ses conséquences.
Le Mont Chef (頭山, Atama Yama) est un court métrage d'animation de Kōji Yamamura de dix minutes réalisé en 2002.
Un homme collectionne tous les objets qu'il trouve. Il récolte un jour une vingtaine de cerise qu'il mange. Pour ne pas gaspiller, il avale aussi les noyaux.
Une pousse apparait sur sa tête. Il la coupe, mais elle repousse, toujours plus grande. Il décide un jour d'arrêter de la couper. L'hiver passe, et au printemps, il a un cerisier en fleur sur la tête. Des personnes viennent s'amuser autour de l'arbre, urinent contre le tronc, laissent des détritus. Énervé par ce rassemblement, l'homme arrache l'arbre. L'arbre laisse place à un trou, qui se remplit d'eau, et de nouveau des personnes se rassemblent autour de la mare ainsi formée. À nouveau énervé, l'homme se met à courir, et atteint à son tour la mare du somment de sa tête, produisant une mise en abyme. L'homme se jette dans la mare et meurt.
Il s'agit d'une adaptation animée d'un rakugo portant le même nom, relatant l'histoire d'un vieil homme si radin, qu'il en vient à manger des noyaux de cerises. La narration est faite par un rakugoka, donnant une ambiance particulière à ce film.
La technique utilisée est du dessin traditionnel, colorié, monté et animé sur ordinateur.
Ce film obtient différents prix dans les festivals d'animation autour du monde. Dont un prix au Festival international du film d'animation d'Annecy.
Dans le générique de fin, Koji Yamamura remercie Takeshi Mabuchi, Co Hoedeman et Reiji Kitazato.