Dans le monde de Les Grotesques de la musique, il y a toujours eu un grand intérêt et une grande curiosité de la part de la société. Depuis des siècles, Les Grotesques de la musique est un sujet de débat et de discussion dans différents domaines, que ce soit dans le domaine politique, scientifique, culturel ou quotidien. L'influence de Les Grotesques de la musique est indéniable et son impact s'est fait sentir dans toutes les sphères de la vie humaine. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le rôle de Les Grotesques de la musique dans l'histoire et sa pertinence dans le présent, en analysant ses différents aspects et en approfondissant son importance pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.
Les Grotesques de la musique | |
Page de titre de l'édition originale des Grotesques de la musique (1859) | |
Auteur | Hector Berlioz |
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Pays | Second Empire |
Genre | Critique musicale |
Éditeur | Bourdilliat et Cie |
Lieu de parution | Paris |
Date de parution | |
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Les Grotesques de la musique est un ouvrage d'Hector Berlioz publié en 1859, composé d'articles précédemment parus dans le Journal des débats et la Revue et gazette musicale. Faisant suite aux Soirées de l'orchestre, dédiées aux artistes de l'orchestre de X*** — une ville d'Allemagne seulement désignée comme « civilisée » — cet ouvrage est dédié à « mes bons amis les artistes des chœurs de l'Opéra de Paris, ville barbare ».
Pour constituer le volume des Grotesques de la musique, Berlioz adopte le même principe que pour Les Soirées de l'orchestre : les trois premiers quarts reprennent le contenu d'articles parus dans le Journal des débats, le dernier quart de la Revue et gazette musicale, en apportant certaines modifications au texte original, ainsi que des corrections et additions.
Les Soirées de l'orchestre étaient dédiées « à mes bons amis les artistes de l'orchestre de X***, ville civilisée », que l'on interprète généralement comme « septentrionale ». Le nouvel ouvrage est donc dédié « à mes bons amis les artistes des chœurs de l'Opéra de Paris, ville barbare ».
Préparés à partir du mois de janvier 1859, Les Grotesques de la musique sont publiés vers le , et rencontrent un grand succès public et critique, « paradoxalement du reste car, pour la plupart des mélomanes, sa prose était aussi plaisante à lire que sa musique difficile à écouter ». Selon Gérard Condé, « on ignore l'importance du premier tirage des Grotesques ; on sait seulement qu'il s'en vendit 5 000 exemplaires entre 1871 et 1933, et qu'un édition allemande parut en 1864 ». L'édition originale de 1859 demeure cependant la seule publiée du vivant de son auteur.