Dans le monde d'aujourd'hui, Liancourt est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. De son impact sur la société à ses implications mondiales, Liancourt a retenu l'attention des universitaires, des scientifiques, des politiciens et des citoyens ordinaires. Son influence couvre différents domaines, de l'économie à la culture, en passant par la technologie et l'environnement. Dans cet article, nous allons plonger dans le monde de Liancourt pour explorer ses différentes facettes et comprendre son importance et son impact aujourd'hui.
Avec une superficie modeste de 4,75 km2, Liancourt se place au 536e rang des 694 communes de l'Oise, alors que c'est, en 2011, la 17e commune du département par le nombre de ses habitants,.
Topographie
Le territoire communal est délimité par la Brêche à l'ouest, par les bois de Louveaucourt et de la Cavée des Meuniers (commune de Bailleval) au nord, et par le bois de Jouart (commune de Rosoy) au nord-est. Avec les zones humides boisées du fond de la vallée de la Brêche, la commune est ainsi presque entièrement entourée de forêts. Au nord et au sud, les maisons de la ville atteignent les limites de la commune. Au nord, les dernières maisons de l'agglomération sont bâties sur le territoire de la commune de Bailleval, bien que séparées de la localité par la forêt. Au sud, le long de la RD 62, une continuité urbaine avec le hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) s'établit. À l'ouest, le long de la RD 137, la continuité urbaine avec Rantigny et Cauffry est également établie par une étroite bande de constructions, rapprochant Liancourt de sa gare située en dehors du territoire communal.
Plus d'un tiers du territoire est construit. Le centre-ville est bâti à une cinquantaine de mètres d'altitude, à peine plus que les rives de la Brêche. Jusqu'à la rivière, le terrain descend légèrement. Au nord de la RD 137 vers la gare, l'on trouve le Grand marais, et au sud, une autre zone humide avec le lieu-dit le Parc, liée au château de La Rochefoucauld. Sinon, des coteaux assez abrupts entourent la ville de trois côtés. Les pentes sont toutefois plus modérées au nord-est où un quartier résidentiel est construit en flanc de colline. Sur le plateau agricole à l'est (lieu-dit la Montagne), une altitude maximale de 139 m est atteinte.
Liancourt est située sur la rive gauche de la Brêche qui la sépare de Rantigny. La rivière, prenant sa source à Reuil-sur-Brêche, rejoint Liancourt après avoir traversé Clermont avant de se jeter dans l'Oise à Creil. En quittant la commune de Rantigny et l'usine Saint-Gobain, la rivière sert de limite entre les deux communes. Elle longe le Grand Marais situé sur la rive gauche (commune de Liancourt) et passe sous un ancien pont ferroviaire et sous la D 37 (pont Bajac) où Cauffry se trouve sur la rive droite. Après avoir longé « le parc », lieu-dit autrefois parc du château de la Rochefoucauld, elle quitte la commune pour passer à proximité de Cauffry et de Mogneville. Elle se jette dans l'Oise à Nogent-sur-Oise.
La Béronnelle, affluent de la rive gauche de la Brêche prenant sa source à Erquery, passe également sur le territoire communal. Devenant parallèle à la Brêche à partir du village de Breuil-le-Sec, elles forment un marais ininterrompu entre leur lit sur plus de 7 km. Arrivant de Bailleval, comme la Brêche, la rivière, après avoir traversé plusieurs étangs, pénètre dans la commune après son passage sur la D 630 (entre Liancourt et Rantigny). Elle passe au lieu-dit de « la Fontaine Malade » et longe le Grand Marais situé sur sa rive droite avant de passer sous la D 137 où elle rejoint le lieu-dit du Parc. Puis, elle rejoint Mogneville où elle se jette dans la Brêche avant le moulin de Sailleville.
De plus, la commune possède trois mares : dans le Parc, avenue Louis-Aragon ; à proximité de la rue Josiane-Mouton, à l'ouest et dans le lieu-dit du Parc, au sud-ouest.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 8 km à vol d'oiseau, est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Typologie
Liancourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Elle appartient à l'unité urbaine de Creil, une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes et 123 989 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne. Cette aire regroupe 1 929 communes,.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (43,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (35,1 %), terres arables (32,6 %), forêts (23,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Voies de communication et transports
Réseau routier
Liancourt est desservie indirectement par la RD 1016 Paris - Creil - Clermont - Amiens, aménagée en voie express sur sa section de Creil à Clermont. La RD 1016 passe à 2 km à l'ouest du centre-ville, l'échangeur le plus proche se trouvant sur la commune voisine de Cauffry. Trois routes départementales passent par le centre de Liancourt :
la RD 62 de Breuil-le-Sec à Nogent-sur-Oise par la vallée de la Brêche arrive de cette première commune par le hameau de Louveaucourt (commune de Bailleval), puis franchit une intersection avec la RD 630 (rejoignant Rantigny) et la rue Pasteur quand elle pénètre sur le territoire communal. Une déviation (avenue Louis-Aragon) évitant la rue Pasteur passe au sud-ouest de la ville et rejoint le rond-point d'Île-de-France, où elle croise la RD 137 et se poursuit par l'avenue du même nom puis par l'avenue Pierre-Bérégovoy. La route quitte la commune à la hauteur du hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) ;
la RD 137, route allant de la RD 37 (Maimbeville) à la RD 44 (Noailles), arrive de Catenoy d'où l'on peut rejoindre Compiègne. Par la montagne de Liancourt, elle descend dans la vallée de la Brêche par la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers. Elle traverse la place du Duc-de-La-Rochefoucauld puis passe par la rue Victor-Hugo. Arrivée au rond-point d'Île-de-France, elle croise la RD 62 et rejoint Rantigny et Cauffry par l'avenue Albert-Ier. Par l'une de ces deux communes, on peut rejoindre par un échangeur la voie express de la R D1016 (voir ci-dessus). La RD 137, après Cauffry, se dirige vers Mouy ;
la RD 29, route de Liancourt à Pont-Sainte-Maxence, débute de la rue des Arts-et-Métiers où elle passe par la rue Jule- Michelet et quitte la commune pour traverser Angicourt.
Une variante de la RD 137 existe sous la forme de la rue du Général-Leclerc, entre la colonne des Arts et Métiers et le carrefour RD 137 / RD 29 au centre-ville. Moins raide grâce à un itinéraire avec lacets, elle permet aux poids lourds d'éviter la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers et d'arriver au sommet de la montagne de Liancourt pour rejoindre Compiègne.
La gare de Liancourt-Rantigny, mise en service en 1846 sur la ligne de Paris-Nord à Lille, est située entre les gares de Clermont-de-l'Oise et de Creil sur la commune de Rantigny, à une distance routière de 2 km de la mairie de Liancourt. Elle est desservie par les trains TER Hauts-de-France (relations C10, C11 et P10). Quatorze à quinze trains par jour et par sens s'arrêtent du lundi au vendredi, et six à sept les dimanches et jours fériés. Du lundi au vendredi, la moitié des trains originent ou terminent à Creil, un changement étant donc nécessaire pour les déplacements entre Liancourt et Paris. Un TER Hauts-de-France met en moyenne 43 minutes pour atteindre la capitale, avec quatre arrêts intermédiaires.
Transports en commun
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 631, 686, 687, 6218, 6241, 6316, 6317, 6318, 6353 et 6355 du réseau interurbain de l'Oise.
Le nom de la localité est attesté sous la forme Landulficurtis en 828, c'est-à-dire « domaine de Landulf », du bas latin curtis ou gallo-roman *CORTE « domaine, ferme », et d’un anthroponyme germanique composé des éléments *landa « territoire », et wulf « loup ». Les formations toponymiques médiévales en -court sont caractéristiques de la zone d'extension primitive des Francs et l'appellatif -court traduit l'appellatif germanique -hove, -hof « cour, ferme »
Histoire
Une motte castrale subsiste dans « le parc du bas », dont il reste un monticule qui semble attester une présence romaine dans la région.
Au XVIIe siècle, la ville s’appelait Liancourt-les-Belles-Eaux. L’agencement de son château, de ses jardins, de ses fontaines et de ses canaux auraient servi de modèle au prestigieux Versailles[réf. nécessaire].
La ville a connu tous les fléaux et les tourments de l’histoire : les ravages effectués par les Normands en 860 et en 891, la Jacquerie de 1358 et celle de 1429, la peste de 1348, celle de 1625, les famines qui se sont ensuivies, aggravées par les hivers rigoureux - les hommes étaient contraints à peler les arbres pour en manger les écorces - étés caniculaires, ou encore pluies de hannetons[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2021, la commune comptait 6 983 habitants, en diminution de 1,55 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 534 hommes pour 3 417 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
2,3
5,0
75-89 ans
9,5
12,2
60-74 ans
12,6
17,1
45-59 ans
17,7
24,0
30-44 ans
19,8
21,0
15-29 ans
18,2
20,3
0-14 ans
20,1
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage
Liancourt ne possède pas de médias basés dans la ville. Des équipes de journaux quotidiens locaux et régionaux (Le Bonhomme picard, Le Courrier picard, Le Parisien...) se relayent les informations locales. La chaîne régionale est France 3 Picardie, basée à Amiens.
Culture
Médiathèque Lucien-Charton, ouverte en 2011 dans les locaux des anciens communs du château de la Rochefoucauld.
Le Centre culturel Alexandre Urbain 5 rue du Général Leclerc comprend : une salle de spectacle, une école de musique, une école d'arts plastique et une école d'expression orale et théâtrale.
Manifestations culturelles et festivités
Fête communale et Grande cavalcade. Depuis 1999, en juin, la commune organise une Grande Cavalcade, grand défilé de chars fleuris l'après midi et illuminés le soir à la tombée de la nuit. Cette grande fête populaire se termine par un grand feu d'artifice tiré depuis la place Verte pour clore cette manifestation très appréciée.
Le centre a été ouvert en 2004. Avant 2004, il était un établissement spécialisé notamment dans les longues peines et où, entre 1995 et 1999, le cinéaste Francis Fehr a initié l'opération "Ecrire Enfermé".
Il comprend aujourd'hui[Quand ?] quatre bâtiments d’hébergement :
un affecté au régime maison d’arrêt (246 places) ;
deux sous le régime de centre de détention (384 places) ;
un quartier réservé aux détenus mineurs (20 places).
Chaque cellule est équipée d’une douche, on compte 10 m2 pour une simple et 14 m2 pour une double. Des cellules de 20 m2 adaptées existent pour les personnes handicapées. L’établissement dispose d’un terrain de football, d’un gymnase, d’une bibliothèque et d’un centre scolaire. Dans le quartier des mineurs, les gardiens sont en tenue de sport. Ce centre a fait parler de lui dans une affaire de violences sur détenus, où le directeur a été muté.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Communs du château de La Rochefoucauld, façade sud.
Les anciennes dépendances du château de Liancourt datant du XVIIIe siècle comprennent les communs, le pavillon du jardinier et la laiterie. Le château a été détruit,. L'ensemble des dépendances du château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le .
Autres éléments du patrimoine
Le musée national Gadzarts, dans la ferme de la Montagne ou de la Faïence, rue de la Faïence : La Fondation des Arts et métiers a acheté, un peu avant 1980, l'ancienne ferme de la Montagne dans laquelle le duc de La Rochefoucauld-Liancourt avait fondé une première école, en 1780, pour des pupilles de son régiment de dragons. Cette école a été la forme primitive des écoles impériales d'Arts et Métiers fondée en 1804 par Napoléon Ier en transférant l'école de Liancourt à Compiègne, puis, en 1806, à Châlons-en-Champagne. La Fondation des Arts et Métiers y a fondé le Musée national Gadzart, inauguré en 1990.
Le tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt, à gauche du portail de la cour de ferme : le monument funéraire du tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt s'appuie contre le mur-pignon d'un ancien bâtiment agricole. Il est assorti de trois plaques commémoratives installées à de différentes occasions par les anciens élèves.
La colonne des Arts et Métiers, rue des Arts-et-Métiers (RD 137) / rue de la Faïence, à la sortie nord-est de la ville et à 250 m du musée Gadzarts : elle a été élevée en 1882 par les Gadzarts à l'occasion du centenaire de la création de leur première école, et rappelle les autres écoles des Arts et Métiers fondées en France.
Statue de la Rochefoucauld-Liancourt, place Rochefoucauld : elle a été érigée par les anciens élèves des écoles et par la population sur la place du même nom et inaugurée pour la première fois le . Sans le piédestal, la statue mesure 2,6 m de haut. Enlevée par les Allemands le , elle est refondue en plein bronze par les Gadzarts et remise en place le en présence du duc de Liancourt.
L'hôtel de ville, façade sud sur le parc.
Église Saint-Martin, transept sud et chœur Renaissance.
Grand séquoia au parc municipal.
La pyramide pour Georges de La Rochefoucauld.
Maisons ouvrières sur la rue Albert-1er.
L'hôtel de ville, le monument aux morts et son parc, rue Jules-Michelet : Le bâtiment de la mairie est une ancienne résidence bourgeoise. Grâce aux dispositions testamentaires prises par sa dernière propriétaire, Mme Gromard, la ville a pu l'acquérir à des conditions très avantageuses. L'inauguration a eu lieu le . À la fin des années 1960, le plan d'urbanisme prévoit la destruction de la mairie et de son parc, projet finalement non réalisé. L'ensemble a ensuite été restauré.
L'église Saint-Martin (du XIIe au XVIe siècle), place du chanoine Snejdareck : elle présente sous un vaste toit de tuile une nef de la fin de la période romane et ses collatéraux. Il y avait autrefois trois toitures différentes. Le clocher, aux baies lancéolées, et la façade ont été modifiés à partir de 1578, lors de l'édification du chœur, du transept et des chapelles avec leurs caveaux (XVIe siècle). Elle est placée sous le vocable de saint Martin. Sa façade offre une représentation du saint patron, une plaque de métal sculptée où on le voit couper son manteau, sa cape, en deux à l’aide de son épée. Roger du Plessis-Liancourt et son épouse Jeanne de Schomberg sont inhumés dans le caveau de la chapelle de face, sans monument ni inscription. L'église possède cinq objets classés : la dalle funéraire d'Hélie Monnet et Catherine Bazar, la dalle funéraire de Jacques de Langle et Marie de Auger , la dalle funéraire à effigie gravée de Mathurin Serault et les fonts baptismaux, tous classés en 1912 et le monument funéraire de Charles du Plessis et d'Antoinette de Pons composé de leur statue de marbre (classé depuis 1886).
Parc de Liancourt, à l'ouest du centre-ville, au nord du château.
La pyramide au souvenir de Georges de La Rochefoucauld (1829-1861), quartier des Ducs, rue de la Pyramide.
Villas et maisons industrielles, au centre-ville et le long de la rue Albert-Ier entre le centre et la gare de Liancourt - Rantigny.
Les armes de Liancourt se blasonnent ainsi : Ecartelé au 1) d’argent à la croix engrêlée de gueules chargée de cinq coquilles d’or, au 2) burelé d’argentet d’azur aux trois chevrons de gueules, le premier écimé, brochant sur le tout, au 3) de gueules aux monogramme des Arts et Métiers d’or, brochant sur une roue dentée du même au 4) d’azur au soc de charrue d’argent et au marteau du même passés en sautoir ; le tout d’argent à la fasce de sable.
Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8)
Xavier de Courville, Liancourt, sa dame et ses jardins, S.l., s.n., (lire en ligne). (BNF38672041), Rééditions : Paris, 1925, Librairie Bloud et Gay, (BNF31976406) ; 2004, (BNF39195196)
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), , 146 p. (lire en ligne)
Raymond Poussard, « Les châteaux de Liancourt », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, nos 129-130, , 62 p.
↑Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Victor Fortunato, « Les problèmes soulevés doivent être réglés » : Roger Menn, nouveau président de l'office HLM Oise Habitat
Conseiller général depuis 1994, réélu maire de Liancourt pour la troisième fois, Roger Menn, 45 ans, a pris, au mois de juin, la présidence du conseil d'administration d'Oise Habitat », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
↑Patricia Haute-Pottier, « 14 nouveaux logements à Sacy et 11 en prévision à Liancourt », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3297, , p. 17.
↑« Roger Menn ne sera pas candidat aux élections départementales », Le Courrier picard, (lire en ligne)« Je vous en parle pour la dernière fois ! » Roger Menn ne briguera pas de nouveau mandat pour les prochaines élections départementales, le 29 mars, alors que les communes du canton seront désormais rattachées à Clermont, Pont-Sainte-Maxence et Nogent-sur-Oise. « Pour que la majorité du conseil général soit conservée, mon adjointe, une femme jeune et intelligente aux nombreuses compétences - Valérie mon épouse - nous représentera dans le canton du Clermontois où nous allons être intégrés », a-t-il expliqué lors de ses vœux à la population présentés dimanche ».
↑Sylvie Molines, « Liancourt : le maire assuré d’être réélu : À la tête de la liste « Liancourt Horizon 2020 », Roger Menn, maire sortant, est sans adversaire. Il a donc l’assurance d’être réélu dimanche », Le Courrier picard, (lire en ligne).
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Roger Menn entame son cinquième mandat avec sa nouvelle équipe », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283, , p. 17.
↑Marjorie Michaud, « Liancourt : Roger Menn réélu maire », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le )« Roger Menn, maire sortant, a été réélu à la fonction avec 22 voix pour (et 7 pour Ophélie Van Elsuwe). ».
↑Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8) ; p. 494-508.
↑Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 323 p. (ISBN978-2-902091-38-6 et 2-902091-38-9) ; p. 217-223.