Aujourd'hui, Livarot-Pays-d'Auge est un sujet largement discuté et analysé dans différents domaines de la société. Son impact a touché divers domaines, de la santé à la technologie, en passant par la politique et l’économie. Livarot-Pays-d'Auge a généré une série de débats et de controverses qui ont souligné l'importance de son étude et de sa compréhension. Au fil des années, Livarot-Pays-d'Auge a évolué et s'est adapté aux changements et aux défis auxquels il a été confronté, devenant ainsi un sujet d'intérêt pour les experts et les amateurs. Dans cet article, nous explorerons en détail les différents aspects et répercussions de Livarot-Pays-d'Auge, dans le but de fournir une vision complète et actualisée de ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 774 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « L'Oudon Lieury_sapc », sur la commune de Saint-Pierre-en-Auge à 14 km à vol d'oiseau, est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,1 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Urbanisme
Typologie
Livarot-Pays-d'Auge est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,.
Elle appartient à l'unité urbaine de Livarot-Pays-d'Auge, une unité urbaine monocommunale de 6 323 habitants en 2017, constituant une ville isolée,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lisieux, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,.
Toponymie
Livarot
La ville de Livarot est attesté tardivement sous les formes Livarou en 1137 ; Livarrot en 1155, ; Livar(r)ou en 1156 ou 1157 ; Livarrou en 1180 ; Livarroth vers 1190 ; Livarrout en 1198, Lyvarrout en 1320 ; Livarroul, Livaroh, Lyvarot et Lyverrotum au XIVe siècle; Liverrot en 1620.
L'explication étymologique de ce nom de lieu ne fait pas l'unanimité chez les toponymistes :
Albert Dauzat et Charles Rostaing, se basant sur une fausse attestation Livaron de 1137 (forme et date erronées), le qualifient d'« obscur », tout en évoquant un sous-dérivé d’ivos, mot supposé gaulois désignant l'if, et le déclarant peu probable. Ils reprennent peut-être en cela des hypothèses antérieures. En réalité, le terme *ivos ou *īvos n'est pas attesté et devrait comporter un astérisque.
Ernest Nègre, raisonnant à partir de cette même forme erronée, considère qu'il pourrait s'agir du nom de personne germanique Liubwar, suivi du suffixe -o / -onem et que la finale se serait modifiée par attraction des noms en -ot. Or, François de Beaurepaire note qu'un nom de personne germanique n'est jamais employé avec ce suffixe.
Dominique Fournier réfute Livaron (cacographie attribuable à Albert Dauzat, et mal datée) et se base sur la forme réelle Livar(r)ou issue de la Chronique de Robert de Torigni pour avancer l'hypothèse du nom de personne gallo-romain Libarius suivi du suffixe d'origine gauloise -avo qui explique la plupart des terminaisons en -ou de Normandie.
Pays d'Auge
Lors de la fondation de la commune nouvelle, le , on a tout simplement rajouté le mot Pays d'Auge, région naturelle où se trouve la commune.
Le nom du pays d'Auge est mentionné dès le IXe siècle sous la graphie Algia, forme latinisée correspondant peut-être à un dérivé d'une hypothétique racine pré-latine °alg-, en relation possible avec la notion d'humidité. Au XIe siècle, on rencontre la forme romane Alge qui deviendra ensuite Auge. Ce radical pré-latin semble être également présent dans le nom de l’ancien territoire d’Augerons dans l’Eure (Algerum 1050), divisé vers le XIIe siècle en deux paroisses : Saint-Aquilin-d'Augerons et Saint-Denis-d'Augerons. Le radical °alg- pourrait représenter un élargissement d'une racine pré-indo-européenne °al- que l'on pense retrouver dans le nom de l’Algot (Alegot 1108), affluent rive droite de la Vie à Saint-Loup-de-Fribois.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
Références
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, 1981 ( (ISBN2-7084-0067-3)) (OCLC 9675154).
↑Dominique Fournier, « Les noms de lieux du pays de Livarot »; vol. I : communes, anciennes paroisses, principaux cours d’eau, Éditions des Mortes-Terres, Saint-Georges-en-Auge, 2010, p. 40-42. Information reprise dans Ouest-France, 14 octobre 2010 (l'article n'est plus en ligne).
↑René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, éditions Charles Corlet, Presses universitaires de Caen, 1996, p. 23
↑Dominique Fournier, Les Noms de lieux du Pays d’Auge (communes, hameaux, lieux-dits) ; vol. I : éléments pré-latins (gaulois ou transmis par le gaulois), coll. « Patrimoine du Pays d’Auge », supplément au no 54 du bulletin de la Société historique de Lisieux, p. 16-17.