Dans le monde d'aujourd'hui, Louis Aloÿs de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein est un sujet qui devient de plus en plus pertinent. Tant dans le cadre académique que dans la vie quotidienne, Louis Aloÿs de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein est devenu un sujet d'intérêt pour une grande variété de personnes. De son impact sur la société à ses implications sur la culture et l'économie, Louis Aloÿs de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein a suscité un débat constant et généré un grand nombre de recherches et d'analyses. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Louis Aloÿs de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein et son impact sur divers aspects de la vie d'aujourd'hui. Nous analyserons depuis ses origines jusqu’à son influence aujourd’hui, dans le but de donner un aperçu complet et détaillé de ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
Louis Aloÿs de Hohenlohe-Waldenburg-Bartenstein | |
Titre | 4e Prince de Hohenlohe-Bartenstein (en) (1798-1806) |
---|---|
Prédécesseur | Louis Charles de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein |
Allégeance | Palatinat du Rhin Armée des princes Archiduché d'Autriche Royaume de Wurtemberg Royaume de France Royaume de France |
Grade militaire | Maréchal de France |
Commandement | Régiment de Hohenlohe |
Conflits | Guerres révolutionnaires Guerres napoléoniennes Campagne d'Espagne (1823) |
Distinctions | Chevalier du Saint-Esprit Officier de la Légion d'honneur |
Autres fonctions | Membre de la Chambre des pairs |
Biographie | |
Dynastie | Maison de Hohenlohe |
Nom de naissance | « Ludwig Aloys Joachim zu Hohenlohe-Bartenstein » |
Naissance | Château de Bartenstein |
Décès | (à 63 ans) Lunéville |
Père | Louis Charles de Hohenlohe-Waldenbourg-Bartenstein |
modifier |
Ludwig Aloysius Joachim, prince de Hohenlohe-Waldenburg-Bartenstein, né le à Bartenstein (en Souabe, où la branche catholique des Hohenlohe possède un château) et mort à Lunéville le , est un général autrichien, puis un maréchal et pair de France.
En 1784, il entre au service de Charles-Théodore de Bavière, Electeur du Palatinat, qu’il quitte en 1792 pour prendre le commandement d’un régiment levé par son père au service des princes émigrés de France. Dans l’armée des émigrés, il se distingue particulièrement sous Condé dans les campagnes de 1792-1793, notamment en défense devant Wissembourg en France.
Il a commandé le régiment de Hohenlohe, créé en 1792 et dissous en 1831, ancêtre de la Légion étrangère.
Puis il entre au service des Pays-Bas quand, encerclé par l’armée du général Pichegru, il dirige une retraite magistrale vers l’île de Bommelerwaard. De 1797 à 1799, il sert comme colonel dans les campagnes autrichiennes. En 1799, il est nommé général-major par l’archiduc Charles. Sa principauté est médiatisée.
Il obtient alors le grade de lieutenant général. Napoléon Ier souhaite le rencontrer pour lui confier la charge des deux Galicies. L’Empereur lui offre de lui rendre sa principauté à condition qu’il intègre la confédération du Rhin, mais il refuse et entre au service du royaume de Wurtemberg.
Après la chute de Napoléon Ier en 1814, il entre au service de la France des Bourbons, et en 1815, il prend le commandement d’un régiment levé par lui-même (le Régiment de Hohenlohe, l’un des régiments dont est issue la Légion étrangère).
Reconnaissant, le roi de France Louis XVIII lui offre le château de Lunéville, prestigieuse résidence où le prince crée une école d'officier de cavalerie. Il est naturalisé français en 1823.
Son régiment tient sa place dans l'expédition d'Espagne. En 1827, il est fait maréchal et pair de France.
Il est enterré au cimetière du Mont-Valérien (Suresnes).
Figure | Blasonnement |
---|---|
Armes des Hohenlohe | |
Armes du prince de Hohenlohe (Waldenburg) Bartenstein (en)
Parti d'un trait, coupé de deux autres qui font six quartiers : au 1, d'or, à l'aigle éployée de sable ; au 2, d'azur à trois fleurs de lys d'argent ; au 3, d'argent, à deux léopards de sable, l'un sur l'autre ; au 4, coupé, a : de sable au lion léopardé d'or, couronné du même ; b : losangé de sable et d'or ; au 5, d'azur à cinq têtes de massue d'argent, 3 et 2 ; au 6, coupé emmenché de gueules sur argent. À la champagne de gueules, sur le tout. Sur le tout du tout un écusson de gueules, à la champagne d'argent, timbré d'un bonnet de gueules retroussé d'hermine. |