Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Madeleine Chapsal, en analysant son impact sur différents aspects de la société. Depuis son origine jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Madeleine Chapsal a attiré l'attention des universitaires, des scientifiques et des passionnés. Nous découvrirons son évolution au fil du temps, ainsi que son influence sur la culture, la politique et l'économie. A travers une analyse détaillée, nous découvrirons les multiples facettes de Madeleine Chapsal et son importance dans le contexte contemporain. Cet article cherche à fournir une vue complète de Madeleine Chapsal, en abordant ses aspects les plus pertinents et en offrant une perspective multidisciplinaire qui permet au lecteur d'apprécier sa véritable portée.
Directrice Académie de Saintonge | |
---|---|
- |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Cimetière Saint-Vivien (d) |
Nom de naissance |
Roberte Madeleine Georgette Chapsal |
Pseudonyme |
Madeleine Chapsal |
Nationalité | |
Activités | |
Père |
Robert Chapsal (d) |
Mère | |
Conjoint |
Jean-Jacques Servan-Schreiber (de à ) |
A travaillé pour | |
---|---|
Membre de | |
Genre artistique | |
Distinctions |
|
Madeleine Chapsal, née le dans le 16e arrondissement de Paris et morte dans la nuit du au Pouliguen (Loire-Atlantique), est une écrivaine et journaliste française qui collabore au journal Les Échos puis au journal L'Express jusqu'en 1978.
Madeleine Chapsal est la petite-fille de l'homme politique Fernand Chapsal et la fille de la couturière Marcelle Chaumont, première d'atelier de la Maison de couture Vionnet.
Les Servan-Schreiber se réfugient pendant la Seconde Guerre mondiale à Megève, alors en zone libre, où Jean-Jacques rencontre Madeleine alors qu'elle s'y remet d'une tuberculose.
Elle se marie avec Jean-Jacques Servan-Schreiber en 1947, participe à la création de L'Express avec lui et Françoise Giroud, puis divorce en 1960 ; elle est cependant toujours restée très proche de JJSS. Au début des années 1970, elle est renvoyée de L'Express par le rédacteur en chef.
Madeleine Chapsal participe également à l'écriture de documentaires, notamment en collaboration avec Frédéric Rossif.
Elle a été membre du jury du prix Femina entre 1981 et 2006, avant d'en être exclue pour sa critique sur l'attribution des prix littéraires, en particulier sur l’attribution du prix Femina 2005, parue dans son Journal d'hier et d’aujourd’hui. Elle y regrette que les jurys des prix littéraires récompensent les livres en fonction de liens d'amitié avec l’éditeur ou l’auteur et considère que le Prix Femina privilégie Gallimard. En 2008, elle a publié Apprendre à aimer (Fayard) préfacé par Julia Kristeva.
Madeleine Chapsal a publié en 2018 ses mémoires, Souvenirs involontaires aux éditions Fayard.
Elle épouse le à l'âge de 93 ans Jean-Marc Vallet au Pouliguen.
Elle meurt dans la nuit du 11 au au Pouliguen (Loire-Atlantique) à l'âge de 98 ans. Elle est inhumée au cimetière Saint-Vivien de Saintes (Charente-Maritime).
Le style et les thèmes chapsaliens ont été parodiés et critiqués par Éric Naulleau et Pierre Jourde dans Le Jourde & Naulleau.
Madeleine Chapsal est nommée chevalier dans l'ordre national du Mérite, promue au grade d'officier le , au grade de commandeur le au titre de « écrivain, journaliste », élevée à la dignité de grand officier le au titre de « écrivain, journaliste », puis élevée à la dignité de grand-croix de l'ordre le au titre de « écrivaine ».
Nommée dans l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de « journaliste, écrivain, directeur de l'académie de Saintonge »; 41 ans elle est faite chevalier dans l'ordre le , promue ensuite au grade d'officier au titre de « écrivain » le , faite officier de l'ordre le .
Et enfin promue au grade de commandeur le au titre de « écrivaine ».
En , elle est élevée au grade de commandeur dans l'ordre des Arts et des Lettres au titre de « Ecrivain »,.