Aujourd’hui, l’importance de Mama Béa dans nos vies est indéniable. Qu'il s'agisse d'un sujet controversé, d'une célébrité, d'un événement historique ou de tout autre élément pertinent, Mama Béa a le pouvoir d'influencer la façon dont nous percevons le monde qui nous entoure. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'impact de Mama Béa sur la société actuelle et comment il a façonné nos opinions, nos comportements et nos décisions. De son apparition sur la scène publique à sa pertinence sur le plan personnel, Mama Béa a laissé une marque indélébile qui mérite d'être examinée en détail.
Béatrice Tékielski naît le à Avignon, rue Saint Étienne. Sa mère Mafalda Fiacco (1916-2009), est d'origine italienne. Profitant d'une tournée au Maroc , son père Karol Tékielski, violoniste concertiste, abandonne sa famille alors qu'elle n'a que deux ans et son frère un an.
En 1967, elle apparaît pour la première fois à la télévision dans l'émission Télé Dimanche, présentée par Roger Lanzac, dans laquelle elle chante L'idiot du village, chanson inspirée par Anne Sylvestre. En 1968, Béatrice Tekielski participe au concours La fine fleur de la chanson française de Luc Bérimont, producteur à l’ORTF. Elle arrive en finale à Bobino et termine deuxième.
En 1971 paraît Je cherche un pays, un premier 33 tours dont le propos préfigure clairement le répertoire à venir. Cinq ans plus tard, en 1976, c'est sous le nom de Mama Béa Tékielski qu'elle signe le double album La folle. En 1978, elle assure son premier Olympia en vedette ; elle obtient le prix de l'Académie Charles Cros pour son quatrième album Pour un bébé robot... cette même année. Paru en 1982, l'album Où vont les stars ? marque une nette évolution esthétique dans son parcours.
Mama Béa revient en 1986 avec La différence, qui comprend notamment un duo avec Little Bob (Roberto Piazza, leader et chanteur du groupe Havrais Little Bob Story). Ce retour se prolonge en 1987 par une série de concerts au Théâtre de la Ville dont un enregistrement autoproduit témoignera quelques années plus tard,,.
En 1994, une compilation, Ma compilation, présente l'essentiel des enregistrements réalisés entre 1976 et 1981. En 1998, Mama Béa signe Indienne, dernier album original paru à ce jour, dans lequel elle rend hommage à son père (dans la chanson Le voyageur).
En 2014 elle préside les finales des Amoureux de la scène.
Mama Béa apparaît dans de la bande dessinée Ballade pour un bébé robot de Cédric Villani et Edmond Baudoin, à la planche numérotée 8. Le récit fait référence à elle à de multiples reprises.