Aujourd'hui, Marie de Hainaut est un sujet qui couvre un large éventail de discussions et de débats dans la société. De son impact sur la politique à ses implications sur la vie quotidienne, Marie de Hainaut a réussi à capter l'attention et l'intérêt d'un grand nombre de personnes. Quelle que soit la perspective sous laquelle il est abordé, Marie de Hainaut est devenu aujourd’hui un sujet d’une grande importance. Alors que nous continuons à explorer ce phénomène, il est important d’examiner attentivement ses différentes facettes et de comprendre comment il influence notre monde en constante évolution. Dans cet article, nous explorerons plus en détail Marie de Hainaut et sa signification dans nos vies.
Marie de Hainaut | |
Titre | |
---|---|
Duchesse de Bourbon | |
– (15 ans) |
|
Prédécesseur | élévation en duché |
Successeur | Isabelle de Valois |
Biographie | |
Dynastie | Maison d'Avesnes |
Date de naissance | |
Date de décès | |
Père | Jean Ier de Hainaut |
Mère | Philippa de Luxembourg |
Conjoint | Louis Ier de Bourbon |
Enfants | Pierre Jeanne Marguerite Marie Philippa Jacques Jacques Béatrice |
modifier |
Marie de Hainaut (1280-1354), parfois aussi nommée Marie d'Avesnes, duchesse de Bourbon, fille de Jean Ier, comte de Hainaut et de Hollande, et de Philippa de Luxembourg, est l'épouse de Louis Ier de Bourbon.
Marie de Hainaut est la 5e fille du comte Jean Ier de Hainaut, et de son épouse Philippa de Luxembourg. Ses frères sont Guillaume Ier, comte de Hainaut et de Hollande, et Jean de Beaumont. Elle a pour sœur Alice, comtesse de Norfolk.
De Louis Ier de Bourbon qu'elle épouse par contrat du mois de , célébré à Pontoise le de la même année, elle eut :
Elle meurt le à Murat.
Elle est inhumée au monastère des Cordeliers de Champaigue, où son gisant, réalisé dans un atelier parisien, orna son tombeau jusqu'à la Révolution. En 1860, le gisant est transporté dans l'église de Souvigny. Il est aujourd'hui conservé dans les collections du musée de la ville. Une autre source indique que son gisant aurait été retrouvé au début du XXe siècle par un fermier labourant un champ. Il aurait été déposé dans le dépôt lapidaire localisé dans les sous-sols de la sacristie de l'église de Souvigny puis, en 1979, dans l'église Saint-Marc de la ville avant de rejoindre le musée du Pays de Souvigny entre 1991-1994 avec le projet "Grand-Site".