Dans cet article, nous explorerons plus en détail Max et Alex Fischer, un sujet qui a retenu l'attention des experts et des passionnés. Max et Alex Fischer est un sujet qui a généré des controverses et des débats dans différents domaines, de la politique à la culture pop. Tout au long de l'histoire, Max et Alex Fischer a joué un rôle fondamental dans la façon dont nous comprenons le monde qui nous entoure et dans nos relations avec lui. A travers cet article, nous approfondirons les différents aspects de Max et Alex Fischer, de ses origines à son impact actuel, pour mieux comprendre son importance et sa pertinence dans la société contemporaine.
Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Activités | |
Fratrie |
A travaillé pour |
Flammarion (- |
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Partenaire | |
Archives conservées par |
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 4090-4091, 2 pièces, -) |
Naissance | |
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Décès |
(à 53 ans) |
Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Fischer (d) |
Nationalité | |
Activité | |
Fratrie |
Max Fischer (d) |
Conjoint |
Yvonne Callmann (d) |
Partenaire |
Max Fischer (d) |
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Max et Alex Fischer, deux frères, sont des écrivains français du XXe siècle d'origine suisse qui écrivaient ensemble des histoires à saveur humoristique.
Max (Maxime Chevalier Elieser Abraham) Fischer est né à Paris 9e le et est décédé le à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne).
Alex (Alex James Abraham Eliezer) Fischer est né à la même adresse le et est décédé à Paris 16e le ,,.
Ils ont été directeurs littéraires aux Éditions Flammarion à partir de 1904 et ont créé la Select-Collection en 1914.
Max fut aussi sous-préfet à Paris durant l’Épuration.[réf. nécessaire]
D'origine suisse, il est le fils de M. Jacques Fischer, boursier, et de Mme Fischer, née Emma Rodriguez ; il a fait des études au collège Sainte-Barbe, au lycée Condorcet, puis à l'École de droit de Paris.
Devenu homme de lettres, conteur et romancier, auteur dramatique – au registre humoristique – et journaliste, il écrit avec son frère Alex de très nombreux ouvrages gais, et collabore au Gaulois, au Petit Journal et à l'Écho de Paris. C'est à partir de 1904 que les livres des frères Fischer, qui connaissent un succès sans éclat, sont édités chez Flammarion.
Tous les deux sont également directeurs de collection, puis directeurs littéraires chez Flammarion. Ils y mettent sur pied, entre autres choses, la Select-Collection qui obtient un grand succès, surtout durant la Grande Guerre. Les livres sont bon marché (0,50 F). Leur rôle est d'être en rapport avec les écrivains, d'en recruter pour Flammarion, en plus de scruter le fonds des autres maisons pour racheter les droits de certains livres.
Cette période de directorat s'étend de 1913 à 1928, le pour être précis, date à laquelle un différend les oppose – d'autres évoquent plutôt une brouille avec Ernest Flammarion et ses fils, car les frères Fischer « percevaient des droits particulièrement importants » –, ce qui pousse Alex à se retirer, tandis que Max, avec l'appui d'Ernest Flammarion, assume seul la direction de la maison jusqu'en 1940. Alex Fischer intentera un procès pour rupture de contrat, mais le perdra.
À de rares exceptions près, Max Fischer n'écrira plus après 1928 ; plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, il deviendra conseiller littéraire, toujours chez Flammarion.
Le , cinq ans avant son décès, il épouse Nelly Caron-Mialaret, écrivain, musicienne et musicologue, qui a notamment publié deux livres chez Flammarion.
Il meurt à 77 ans à Saint-Maur-des-Fossés (acte de décès : no 720/1957), en laissant un fils, Claude Fischer, né en 1930. Il est inhumé au cimetière parisien de Pantin. Cependant, une sépulture à son nom avec sa date de naissance et de décès est visible dans la 3e division du cimetière de Montmartre.
Journal littéraire de Paul Léautaud au : « Les frères Max et Alex Fischer se sont mis en tête d’avoir dans le Mercure un article sur eux. Ils sont lecteurs chez Flammarion. Bachelin est édité chez Flammarion. Ils ont parlé de l’affaire à Bachelin. Lui, mardi dernier, avant-hier, en a parlé à Vallette, de façon qui montrait qu’il se rendait compte de la présomption des Fischer et qu’il n’en parlait que pour qu’on ne puisse pas dire qu’il n’avait rien fait dans ce sens. Chose impossible, naturellement, les Fischer n’ayant rien de littéraire. Dès hier matin, Vallette qui s’était chargé de la suite de l’affaire, a envoyé une lettre aux Fischer pour leur expliquer que la chose n’était pas possible. Il les rencontre le soir la Renaissance. Les Fischer lui disent bonjour et ajoutent : « Nous avons reçu votre gentille lettre », avec un sourire aigre ».