Dans cet article, l'impact de Mon frère Jacques sur divers aspects de la société actuelle est exploré. Il analyse comment cette influence a façonné la façon dont nous interagissons, pensons et interagissons avec notre environnement. Mon frère Jacques a fait l'objet de débats et d'études dans différents domaines de la connaissance, de la psychologie à l'économie, en passant par la politique et la technologie. Tout au long de l’histoire, Mon frère Jacques a joué un rôle crucial dans l’évolution de l’humanité, et sa pertinence continue d’être palpable aujourd’hui. Cet article discute en détail de la portée de Mon frère Jacques et examine ses implications pour notre monde contemporain.
Réalisation | Pierre Prévert |
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Sociétés de production | Cinémathèque Royale de Belgique et RTBF |
Pays de production |
Belgique France |
Genre | poétique |
Durée | environ 300' |
Première diffusion | 1961 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Mon frère Jacques est un film de Pierre Prévert en 16 mm N&B réalisé à l'origine pour la télévision et produit en 1961 par la Cinémathèque royale de Belgique (initiatrice du projet en la personne de son directeur Jacques Ledoux) et la Radiodiffusion-télévision belge (RTBF).
Dans une suite d'entretiens filmés en quatre jours dans l'appartement de Jacques Prévert situé cité Véron à Paris, Pierre y raconte son frère. Entourés de quelques-uns de leurs « compagnons de cinéma » ou amis de la première heure, les deux frères parlent de « choses et d'autres...», évoquant les activités diverses de Jacques. Les conversations sont entrecoupées d'extraits des films auxquels ils font allusion.
Ce film en quatre parties a été diffusé en octobre/ par la Radiodiffusion-télévision belge et en par FR3 dans Océaniques, une émission de Pierre-André Boutang rediffusée en .
Quarante-trois ans plus tard, en 2004, le film — renommé Mon frère Jacques par Pierre Prévert — a été restauré et remonté par Catherine Prévert, fille de Pierre Prévert, et les passages ayant subi des altérations irrémédiables ont été supprimés. Plusieurs séquences sont présentées différemment par rapport à la version de 1961 et les droits d'auteur, plus stricts qu'au moment du tournage, ont amené le raccourcissement de certains extraits de films. De plus, l'introduction de la couleur enrichit maintenant certaines images (dessins, collages, maquettes, peintures...) et films (Paris la belle). Un court-métrage de Jacques Prėvert, La Pêche à la baleine, retrouvé sur le tard par son frère, a également été intégré.