Dans le monde de Mue des mammifères, il existe un large éventail d’informations, d’opinions et de perspectives qui s’entrelacent pour façonner la compréhension et les connaissances sur ce sujet. De l’histoire à nos jours, Mue des mammifères a joué un rôle important dans différents domaines, suscitant l’intérêt des experts, des passionnés et des curieux. Au fil du temps, il a été débattu, étudié et analysé de diverses manières, permettant une vue plus complète et détaillée de Mue des mammifères. Dans cet article, nous explorerons les nombreuses facettes de Mue des mammifères, en examinant ses origines, son impact et sa pertinence dans le présent, dans le but de fournir une perspective globale sur ce sujet fascinant.
La mue désigne chez les mammifères le renouvellement périodique de leur pelage, voire chez certaines espèces de leurs bois. Elle joue un rôle d'adaptation au milieu et aux rapports au sein du groupe, en fonction des saisons.
La périodicité des mues est réglée par le photopériodisme. La perte du pelage d'hiver a généralement lieu au printemps.
Les périodes de mue semblent coïncider avec la montée d'hormones chez les mâles, et pas seulement en fonction de l'exposition à la lumière,.
L'avancement de la mue est aussi un indicateur de l'aptitude au combat entre mâles. Chez les cervidés les bois tombent et repoussent chaque année pour atteindre leur plein développement durant la période de rut, mais la mue du pelage est aussi un paramètre qui intervient dans les rivalités entre mâles, comme chez le Lièvre variable.
La mue est une adaptation aux changements saisonniers de milieu.
La mue joue un rôle dans la thermorégulation chez les espèces vivant dans des climats froids ou tempérés. En effet, les espèces concernées perdent leurs importantes fourrures d'hiver et revêtent une fourrure plus légère, avec des poils plus ras.
Cette mue peut être associée à un changement de couleur de la fourrure, favorisant le mimétisme, comme l'isatis, le lièvre variable ou l'hermine, dont les poils blanchissent en hiver, avant de tomber et de laisser leur place à des poils colorés au printemps.
La mue ne concerne pas uniformément toutes les parties du corps de l'animal, et les poils de certaines parties du corps se renouvellent moins souvent que d'autres, comme ceux de la queue ou de la crinière du cheval.