Dans cet article, nous explorerons en détail la vie et l'œuvre de Néostigmine, un personnage qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire. De ses premières années de vie à ses réalisations les plus marquantes, nous approfondirons son parcours pour comprendre son impact dans divers domaines. A travers des entretiens, des analyses et des témoignages, nous découvrirons les aspects les plus pertinents de Néostigmine et comment son héritage continue d'être d'actualité aujourd'hui. De plus, nous examinerons l'influence de Néostigmine sur la société contemporaine et sa pertinence pour les générations futures.
Néostigmine | |
Identification | |
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Nom UICPA | 3-(diméthylcarbamoyloxy)-N,N,N-triméthylbenzenaminium |
No CAS | |
No ECHA | 100.305.602 |
Code ATC | N07 S01 |
PubChem | 5824 |
Propriétés chimiques | |
Formule | C12H19N2O2 [Isomères] |
Masse molaire | 223,291 5 ± 0,011 9 g/mol C 64,55 %, H 8,58 %, N 12,55 %, O 14,33 %, |
pKa | 12,0 |
Données pharmacocinétiques | |
Biodisponibilité | Probablement < 5 % |
Métabolisme | Hydrolyse lente par les cholinestérases |
Demi-vie d’élim. | 50 à 90 minutes |
Excrétion |
Rénale |
Considérations thérapeutiques | |
Classe thérapeutique | Anticholinestérasique • Antimyasthénique |
Voie d’administration | Intraveineuse |
Caractère psychotrope | |
Autres dénominations |
Prostigmine |
Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
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La néostigmine est un parasympathomimétique indirect, inhibiteur des cholinestérases commercialisé sous le nom de Prostigmine (sous forme de bromure de néostigmine) ou sous le nom de Néostigmine (méthylsulfate de néostigmine). Elle fut synthétisée pour la première fois en 1931 par Aeschlimann et Reinert.
La néostigmine se lie au site anionique de l'acétylcholinésterase et empêche son activité d'hydrolyse. De ce fait, elle potentialise la concentration de l'acétylcholine dans la fente synaptique et stimule indirectement à la fois les récepteurs nicotiniques et muscariniques. La néostigmine possédant un ammonium quaternaire l'empêche de passer la barrière hémato-encéphalique.
La néostigmine est indiquée dans le traitement de la myasthénie, du syndrome d'Ogilvie et de façon régulière en anesthésie générale pour antagoniser les effets des curares non dépolarisants en fin d'intervention, parfois pour traiter une rétention aiguë d'urine. En raison de ses effets cholinergiques (bradychardie, sueurs, sialorrhée, diarrhée) on l'associe fréquemment à l'atropine.
La néostigmine fait partie de la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en ).