New Left Review

Dans l'article d'aujourd'hui, nous explorons le monde fascinant de New Left Review. Depuis ses débuts jusqu’à son impact aujourd’hui, ce sujet a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Avec une portée qui va des aspects historiques à sa pertinence dans la vie quotidienne, New Left Review est devenu un point d'intérêt qui suscite la curiosité et l'admiration de ceux qui se plongent dans son étude. À travers cet article, nous approfondirons ses multiples facettes et découvrirons des détails surprenants qui nous aideront à mieux comprendre son importance et son évolution au fil du temps. Alors préparez-vous à vous lancer dans un voyage passionnant à travers New Left Review et découvrez tout ce que ce thème a à offrir.

New Left Review
Langue Anglais
Périodicité bimestrielle
Genre revue politique

La New Left Review (NLR) est une revue britannique d'idées qui couvre la politique mondiale, l'économie, la théorie politique et la culture.

Histoire

Le premier numéro paraît en janvier-février 1960. Dirigé à ses débuts par Stuart Hall, Perry Anderson prend sa succession et propose un format proche du livre avec des articles plus longs, des notes de bas de page et une pagination d'au moins 96 pages par numéro. Robin Blackburn prend sa suite de 1982 à 2000. Juliet Mitchell coédite également cette revue.

Gauche

Engagée à gauche, la NLR participe activement au débat marxiste en portant à la connaissance du public anglophone des auteurs comme Walter Benjamin, El Lissitsky, Hans Magnus Enzensberger, Herbert Marcuse, Theodor Adorno, Antonio Gramsci, Louis Althusser et en proposant des entretiens avec Jean-Paul Sartre, Georg Lukács et Lucio Colletti.

Engagements

La NLR couvre l'actualité des mouvements anti-impérialistes du tiers monde, se fait l'écho des mouvements étudiants des années 1960 et 1970 et rend compte des crises politiques traversés par les régimes communistes en Russie et en Europe de l'Est.

Auteurs

Isaac Deutscher, Raymond Williams, Raphael Samuel et Ralph Miliband y publient leurs premiers travaux.

Dans les années 1990, la NLR publie d'importants textes de Robert Brenner, Giovanni Arrighi, David Harvey, Peter Gowan et Andrew Glyn sur la crise capitaliste.

Références

  1. Jean-Baptiste Marongiu, « Nouvelles hybrides », Liberation,‎ (lire en ligne)
  2. Michèle Idels, « Mitchell, Juliet  », dans Béatrice Didier, Antoinette Fouque et Mireille Calle-Gruber (dir.), Dictionnaire universel des créatrices, Éditions Des femmes, , p. 2948

Liens externes