Cet article abordera le sujet de Noël Duret, une question très pertinente qui a retenu l'attention des experts et du grand public ces dernières années. Noël Duret a fait l'objet de nombreuses études et recherches en raison de son impact sur divers aspects de la vie quotidienne, de la santé à l'économie. Tout au long du texte, différentes facettes de Noël Duret seront analysées, depuis son histoire et son évolution jusqu'à ses implications dans la société actuelle. De plus, des solutions et propositions possibles pour relever les défis posés par Noël Duret dans le monde contemporain seront examinées. A travers une approche multidimensionnelle, l'objectif est d'offrir au lecteur une vision complète et actualisée de Noël Duret, afin de contribuer au débat et à la compréhension de ce phénomène.
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Noël Duret ou Natalis Durret, né à Montbrison en 1590 et mort à Paris vers 1650, est un mathématicien et astronome français.
Cosmographe du roi Louis XIII et du cardinal de Richelieu, il fait partie des éditeurs de François Viète. On ne doit pas le confondre avec Noël Duret, de la même famille, cordelier et professeur de théologie.
Parent de l'avocat Jean Duret, de Moulins, et de l'herboriste Claude Duret, Noël Duret est né dans une famille de robe, originaire du Lyonnais. Il professa les mathématiques à Paris, obtint le titre de cosmographe du roi, fut pensionné par le cardinal de Richelieu, et reçut un privilège d'édition pour de nombreux livres de mathématiques. Duret écrit d'abord en français (Nouvelle Théorie des planètes, 1635), puis en latin ; certains ouvrages étant bilingues (sur deux colonnes).
Ses ouvrages sont très complets. Ils vont de l'introduction à l'astrologie (Astrologia generalis), à l'astrologie spécialisée (De Astrorum influxu causis ac modis quibus corpora caelestia in res inferiores agunt). Duret y décrit l'usage des éphémérides, leurs modes de calculs et leurs interprétations. Son De crisium mysterio tractatus magnus (1641) passe pour une compilation de divers auteurs traitant de médecine astrologique. Il sera aussitôt traduit en anglais par Culpeper dans sa Semeiotica Urania (1651). Son Fatum Universi sera condamné pour quelques-unes de ses prédictions. Connu du médecin Hugues de Salins de Beaune, celui-ci lui prête d'avoir conversé avec François Viète à la mort de ce dernier. Duret avait alors 13 ans ; il semble que cette anecdote est pure invention et mêle le cosmographe et un homonyme, Jean, fils de Louis Duret, médecin de Catherine de Médicis.