Dans l'histoire de l'humanité, Olivier Faure (homme politique) a joué un rôle fondamental dans le développement et l'évolution de la société. Depuis sa création, Olivier Faure (homme politique) a capté l'attention et l'imagination des gens, inspirant toutes sortes d'expériences, d'émotions et de réflexions. Que ce soit en raison de son impact sur la culture populaire, de son influence dans le domaine scientifique ou de sa pertinence dans la politique mondiale, Olivier Faure (homme politique) a laissé une marque indélébile dans l'histoire. Dans cet article, nous explorerons le rôle que Olivier Faure (homme politique) a joué au fil du temps et comment il a façonné le cours de l'humanité sous différents aspects.
Olivier Faure | |
Olivier Faure en 2012. | |
Fonctions | |
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Premier secrétaire du Parti socialiste | |
En fonction depuis le (6 ans et 23 jours) |
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Élection | 29 mars 2018 |
Réélection | 18 septembre 2021 19 janvier 2023 |
Premier secrétaire délégué | Nicolas Mayer-Rossignol Johanna Rolland |
Prédécesseur | Rachid Temal (intérim) Jean-Christophe Cambadélis |
Député français | |
En fonction depuis le (11 ans, 10 mois et 10 jours) |
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Élection | 17 juin 2012 |
Réélection | 18 juin 2017 19 juin 2022 |
Circonscription | 11e de Seine-et-Marne |
Législature | XIVe, XVe et XVIe (Cinquième République) |
Groupe politique | SRC (2012-2016) SER (2016-2017) NG (2017-2018) SOC (depuis 2018) |
Coalition | NUPES (depuis 2022) |
Prédécesseur | Circonscription créée |
Président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale | |
– (1 an, 3 mois et 29 jours) |
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Élection | |
Réélection | |
Vice-président | Delphine Batho |
Législature | XIVe et XVe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Bruno Le Roux Seybah Dagoma (intérim) |
Successeur | Valérie Rabault |
Porte-parole du Parti socialiste | |
– (2 ans, 3 mois et 21 jours) |
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Avec | Corinne Narassiguin Juliette Méadel |
Successeur | Karim Bouamrane |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | La Tronche (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS (depuis 1984) |
Conjoint | Soria Blatmann |
Diplômé de | Université d'Orléans Université Panthéon-Sorbonne |
Profession | Juriste |
Site web | olivierfaure.fr |
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Olivier Faure, né le à La Tronche (Isère), est un homme politique français.
Membre du Parti socialiste (PS), il est élu en 2012 député de la onzième circonscription de Seine-et-Marne et devient en 2016 président du groupe socialiste, écologiste et républicain à l'Assemblée nationale. Il est réélu parlementaire en 2017.
À l’issue du congrès d'Aubervilliers de 2018, il devient premier secrétaire du Parti socialiste. Il est reconduit dans ses fonctions lors du congrès de Villeurbanne en 2021.
En vue des élections législatives de 2022, il contribue à la mise en place d'une union de la gauche, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Il est réélu député à cette occasion.
En 2023, candidat à sa réélection à la tête du Parti socialiste, soutenu par les partisans de la NUPES, il est réélu lors du congrès de Marseille, sur fond d'accusations de fraudes lancées par son opposant à l'élection au premier secrétariat, Nicolas Mayer-Rossignol.
Il naît en 1968 à La Tronche d'un père français agent des impôts et d'une mère vietnamienne qui exerce la profession d'infirmière. Après une enfance débutée à l'île de la Réunion, il grandit en métropole où il poursuit ses études. Ancien élève du lycée Pothier d'Orléans, il est titulaire d'un diplôme d'études approfondies (DEA) en droit économique obtenu à l'université d'Orléans et d'un autre DEA en sciences politiques obtenu à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Il prétend être issu d'une famille paternelle d'extrême-droite, qu'il qualifie de « maurrassienne ». Il dit également être le petit-fils d'un ministre viet-minh, au lendemain de la chute de Dien Bien Phu.
À 16 ans, il adhère au Parti socialiste, militant également à l'Union nationale des étudiants de France (UNEF). Au PS, il fait la connaissance de Benoît Hamon, avec lequel il partage une colocation. En 1991, à 23 ans, il devient secrétaire général des jeunes rocardiens, succédant à Manuel Valls.
Il est, de 1991 à 1993, collaborateur du président de la commission des lois de l’Assemblée nationale française, Gérard Gouzes.
De 1993 à 1997, il est cadre dirigeant d'une PME de 150 salariés,.
Il est ensuite successivement conseiller de Martine Aubry au ministère de l’Emploi de 1997 à 2000, puis directeur adjoint du cabinet de François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, de 2000 à 2007. Début 2007, il publie une bande-dessinée Ségo, François, papa et moi qui raconte les coulisses de la campagne de Ségolène Royal pour être élue candidate socialiste à l'élection présidentielle de 2007.
Candidat aux élections législatives de 2007 dans la 8e circonscription de Seine-et-Marne, il est battu par Chantal Brunel (UMP). En , il rejoint Jean-Marc Ayrault et devient secrétaire général du groupe socialiste à l'Assemblée nationale.
Pendant la campagne de la primaire présidentielle socialiste de 2011, il est chargé de la communication de François Hollande, puis pendant la campagne présidentielle de 2012, il est l'expert « opinion » auprès du candidat socialiste. Il devient, après la victoire du , le conseiller spécial du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Il démissionne de cette fonction sitôt élu.
En , le PS décide de l'investir pour les élections législatives de 2012 dans la onzième circonscription de Seine-et-Marne, où la gauche est bien placée pour gagner, en dépit d'un accord avec EELV, menant Jean-Marc Brûlé à renoncer à présenter sa candidature. Il est élu le 17 juin avec 63,2 % des voix au second tour. Il devance la candidate UMP Cathy Bissonnier qui a recueilli 36,78 % des suffrages. Il est alors nommé troisième vice-président du groupe socialiste, républicain et citoyen.
Le , il intègre la direction du PS à la fonction de secrétaire national à la communication.
Début , à l'occasion de l'entrée de Philippe Martin au gouvernement, il devient le 2e vice-président du Groupe SRC à l'Assemblée nationale, chargé des relations avec les partenaires.
Le , à l'occasion du conseil national du Parti socialiste, il en devient l'un des porte-paroles. Il est durant toute la législature rapporteur spécial du budget infrastructures de transports collectifs et ferroviaires. En , il fait adopter un amendement au projet de loi de finances permettant - via une augmentation du versement transport payé par les entreprises - la mise en place du passe Navigo à tarif unique, engagement de la majorité de gauche du conseil régional.
Comme député de la majorité, Olivier Faure tente de trouver un compromis sur le texte concernant la déchéance de la nationalité puis sur la loi travail, en vain. Le , il succède à Bruno Le Roux à la tête du groupe socialiste, écologiste et républicain de l'Assemblée nationale, après sa nomination au gouvernement. Son élection par 137 voix contre 120 à Guillaume Bachelay est interprétée comme un revers pour Manuel Valls. En effet, ce dernier avait refusé l'examen d'un amendement de compromis porté par Olivier Faure sur l'article 2 du projet de loi Travail en au profit d'une nouvelle utilisation de l'article 49-3.
Il envisage en 2016 de se rallier à Emmanuel Macron dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, mais y renonce après s’être entretenu avec celui-ci et constaté qu'ils ne partagent pas les mêmes valeurs.
Candidat à sa réélection lors des élections législatives de 2017, il l'emporte en tandem avec son suppléant écologiste, Paulin Roy, avec 61,1 % des voix face à Amandine Rubinelli, candidate de LREM,. Le , il est réélu à la présidence du groupe parlementaire socialiste de l'Assemblée nationale, par 28 voix contre 3 à Delphine Batho.
Il s'abstient en juillet 2017 lors du vote sur la confiance au gouvernement d'Édouard Philippe , s'oppose aux ordonnances de la loi Travail et propose un contre-budget au projet de loi de finances. En , Les Jours relève qu'« avec 27,2 % de votes en accord avec En marche, Olivier Faure ne fait pas partie des députés les plus hostiles à la politique de la majorité ».
En , il intègre la direction collégiale du PS. Après son élection comme premier secrétaire du PS en , Valérie Rabault le remplace à la présidence du groupe Nouvelle Gauche.
En juin 2022, en raison de l'accord de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale signé avec les insoumis, les communistes et les écologistes, il est l'unique candidat de gauche sur sa circonscription et est réélu avec 64,45% des voix. Sur son initiative, les partis de gauche déposent en septembre une proposition de référendum d'initiative partagée sur les bénéfices exceptionnels des grandes entreprises,. La proposition est néanmoins retoquée par le Conseil constitutionnel. Elle est reprise par le groupe socialiste dans le cadre de sa niche parlementaire du 9 février 2023.
En , il annonce être candidat à la tête du Parti socialiste en vue du congrès d'Aubervilliers. Premier signataire de la motion « Socialistes, le chemin de la renaissance », il est notamment soutenu par Martine Aubry, maire de Lille, et Carole Delga, présidente de la région Occitanie.
Un sondage réalisé par Harris Interactive auprès des sympathisants socialistes le place en deuxième position, loin derrière l'ancien ministre Stéphane Le Foll, qui bénéficie d'une notoriété plus importante en raison de ses responsabilités gouvernementales sous la présidence Hollande.
Olivier Faure arrive largement en tête du premier tour du vote des adhérents, le : sa motion recueille 48,37 % contre 26,45 % pour celle de Stéphane Le Foll. Ce dernier se retire de la course, assurant ainsi à Olivier Faure de devenir le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste à l'issue du congrès d'Aubervilliers. Seul en lice, il est élu le avec 86 %,. Il est proclamé et investi premier secrétaire lors du congrès d'Aubervilliers, le suivant,.
Le , il propose et fait adopter une nouvelle direction par le conseil national du parti avec Corinne Narassiguin comme nouvelle « secrétaire nationale à la coordination et aux moyens », Boris Vallaud et Gabrielle Siry devenant quant à eux les nouveaux porte-paroles.
Au cours de l’année 2019, son ambition de se présenter à l'élection présidentielle de 2022 est évoquée, ce qu'il conteste.
Lors des élections européennes de 2019, plusieurs sondages donnent la liste d’alliance PS-Place publique, conduite par Raphaël Glucksmann, en dessous de la barre des 5 %. La liste obtient finalement 6,2 % des suffrages et six élus, dont trois socialistes, tandis que la liste de Benoît Hamon, qui a quitté le PS, recueille 3,3 % des voix. Alors qu’il est un partisan de l'union de la gauche et des écologistes, sa stratégie est jugée payante lors des élections municipales de 2020 avec le maintien et le gain de grandes villes grâce à des alliances de premier et second tours.
En septembre 2021, lors du congrès de Villeurbanne, Olivier Faure est réélu pour un second mandat avec 73,49 % des voix contre 26,52 % pour Hélène Geoffroy. Alors que le prochain scrutin présidentiel approche, il plaide en interne pour une alliance avec les écologistes et les communistes, proposition balayée par Anne Hidalgo, qui devient officiellement la candidate du parti lors d'une primaire interne en octobre. La maire de Paris aurait notamment accusé son premier secrétaire de « rouler pour d'autres » au cours d'un dîner en juin 2021, alors que ce dernier prophétise un désastre en cas de candidature séparée,.
Les craintes d'Olivier Faure se confirment lorsque Anne Hidalgo est éliminée au premier tour de l'élection présidentielle de 2022 avec seulement 1,7% des suffrages exprimés. Après cette nouvelle débâcle électoralle, il propose de discuter d'un rapprochement entre le Parti socialiste et la France insoumise en vue des élections législatives, ce qui divise son parti. Finalement, le Conseil national adopte la motion proposée par Olivier Faure et rejette la ligne de la Présidente de la région Occitanie, Carole Delga, ce qui conduit au départ de plusieurs cadres du PS dont l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve.
Alors que les négociations sont en cours entre La France insoumise et le Parti socialiste en vue des législatives de juin, de multiples cadres locaux et nationaux socialistes interpellent Olivier Faure sur cet accord avec LFI. Ils dénoncent une « reddition » étant notamment en désaccord concernant le fait de « désobéir à certaines règles européennes », de sortir de l'Otan ou du nucléaire en démantelant les projets d'EPR. Un clivage avec les anciens dirigeants du Parti socialiste qu'il assume, se disant désormais « libéré ».
Le Parti socialiste rejoint ainsi la Nouvelle Union populaire écologique et sociale avec les trois autres principaux partis de gauche, parvenant à priver le président Macron réélu d'une majorité absolue et de maintenir l’existence du groupe socialiste à l'Assemblée. Olivier Faure reste néanmoins accusé de « subordination » à Jean-Luc Mélenchon par de nombreuses personnalités du Parti socialiste, ce dont il se défend en affirmant la liberté de vote des élus socialistes et réaffirme la pertinence de l'union de la gauche.
Lors du congrès de Marseille en janvier 2023, son texte d'orientation appelé « Gagner! » fait face à deux textes d'orientation moins favorables à la poursuite de l'union avec La France insoumise : celui d'Hélène Geoffroy et de Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen, soutenu notamment par Anne Hidalgo, Carole Delga, et Valérie Rabault. La motion de Olivier Faure arrive en tête avec 49,15% des suffrages des électeurs socialistes. Hélène Geoffroy, arrivée en troisième position, rallie la candidature de Nicolas Mayer-Rossignol pour l'élection du premier secrétaire. Olivier Faure est finalement annoncé réélu à la tête du Parti socialiste mais les résultats sont contestés par son adversaire qui pointe de multiples irrégularités. Une commission de recollement valide les résultats quelques jours plus tard en donnant une majorité légèrement plus élevée au secrétaire sortant. Le scrutin est également validé par un huissier.
Le camp du maire de Rouen conteste néanmoins toujours les résultats, appelant à la création d'un directoire, tandis que François Hollande demande à organiser une nouvelle élection. Olivier Faure propose à ses deux adversaires une direction collégiale pour représenter toutes les sensibilités du parti mais également la possibilité pour Nicolas Mayer-Rossignol d'être la tête de liste socialiste pour les élections européennes de 2024, de manière à sortir de la crise, proposition rejetée par son opposant. Un accord est finalement trouvé entre les deux candidats : Olivier Faure est maintenu dans ses fonctions tandis que Nicolas Mayer-Rossignol devient premier secrétaire délégué du parti aux côtes de Johanna Rolland.
Le , il démet de ses fonctions Christiane Constant, première secrétaire fédérale du Rhône, réélue l'avant-veille sous le propre texte d'orientation d'Olivier Faure, en raison d'un SMS de sa part « contenant un propos à caractère raciste », à savoir « On a éliminé tous ces macaques »,. L'intéressée se défend de tout racisme, prétextant une faute de correcteur orthographique et une référence aux trois singes de la sagesse,. Grâce à sa stratégie d'union, le Parti socialiste voit son nombre d'adhérents augmenter, phénomène qui s'observe également chez les autres partis de gauche.
Les sénatoriales de 2023 permettent de stopper l'érosion du nombre d'élus socialistes à la chambre haute, qui était en baisse depuis 2014, notamment grâce à des listes communes avec les communistes et les écologistes qui permettent également aux deux autres partis d'augmenter leur nombre de sénateurs.
Il est le père de quatre enfants, dont trois d'une précédente union, une fille aînée et trois fils, ainsi qu'une belle-fille.
Il est l'époux de Soria Blatmann, membre du cabinet présidentiel d'Emmanuel Macron chargée des droits de l'homme jusqu'en , date à laquelle elle rejoint la nouvelle directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay. Proche de Christophe Castaner, il rompt en avec celui-ci, devenu ministre de l'Intérieur de la majorité LREM ; en , Christophe Castaner affirme avoir accompagné Olivier Faure « dans ses divorces et ses séparations », suscitant l'indignation de celui-ci.
Lors de la présidence de François Hollande, en tant que député, il s'oppose au projet gouvernemental de révision constitutionnelle d'extension de la déchéance de nationalité. Il recherche un compromis dans le cadre de la loi travail en cosignant un amendement sur la rémunération des heures supplémentaires afin de faire adopter le texte sans recourir à l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution par le Premier ministre, sans succès,.
En , lors d’un rassemblement de policiers à Paris auquel il participe, il dénonce le fait que ceux-ci soient « exposés en permanence aux agressions » et demande à ce qu’ils aient un « droit de regard » sur les décisions de justice. Cette proposition suscite les critiques de personnalités de gauche, qui invoquent une violation du principe de séparation des pouvoirs,. Il précise par la suite ses propos, revenant notamment sur l'expression « droit de regard », qu'il qualifie de « malheureuse ».
En janvier 2022, il défend et fait adopter à l'Assemblée nationale une proposition de résolution visant à dénoncer le « génocide des Ouïghours » par la Chine.
En août 2022, à la suite d'un appel lancé par le secrétaire général de l’ONU António Guterres afin de taxer les milliards de bénéfices des grandes entreprises pétrolières et gazières réalisant des profits « scandaleux », sur « le dos des plus pauvres en raison de la crise provoquée par la guerre », il dit souhaiter un référendum d’initiative partagée concernant une « taxation des superprofits ».
En octobre 2022, il prend position en faveur de l'ancien responsable EELV Julien Bayou, concernant les accusations de violences psychologiques dont celui-ci est l'objet.
En octobre 2023 il demande un moratoire sur la construction de l'autoroute A69, qu'il qualifie d' "anachronique" sur le plan écologique. Il suit ainsi les mises en garde des associations locales et de 2 000 chercheurs, contre certains membres de son parti dont Carole Delga, la Présidente de Région Occitanie.
En novembre 2023 il propose dans son ouvrage un "capital républicain" proposant de mettre fin à ce qu'il appelle "l'héritocratie". Il s'agit d'une dotation universelle indexée sur les études suivies, qui permettra à tous de bénéficier d’un engagement équivalent de la part de la puissance publique. Les plus aidés seraient les décrocheurs ayant fait peu d'études.
Année | Parti | Circonscription | 1er tour | 2d tour | Issue | |||||
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Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | |||||
2007 | PS | 8e de Seine-et-Marne | 17 698 | 29,05 | 2e | 28 946 | 49,06 | 2e | Battu | |
2012 | 11e de Seine-et-Marne | 14 800 | 47,25 | 1er | 18 740 | 63,22 | 1er | Élu | ||
2017 | 7 274 | 27,37 | 2e | 13 639 | 61,09 | 1er | Élu | |||
2022 | 12 279 | 46,90 | 1er | 15 453 | 64,45 | 1er | Élu |