De nos jours, Orval (Manche) est un sujet qui a acquis une grande importance dans la société. C'est un sujet qui a suscité intérêt et débat dans différents secteurs, car son impact s'est fait sentir dans différentes sphères de la vie quotidienne. Depuis Orval (Manche), des personnes de différents domaines ont exprimé leur opinion et ont cherché à bien comprendre les différentes nuances qu'il recouvre. Dans cet article, nous explorerons Orval (Manche) en profondeur, en analysant ses différentes facettes et son influence aujourd'hui. Grâce à une approche détaillée et rigoureuse, nous visons à fournir une vision globale de Orval (Manche) et de son importance dans la société contemporaine.
Le point culminant (88 m) se situe en limite nord-est, près du lieu-dit la Belletière. Le point le plus bas (4 m) correspond à la sortie de la Sienne du territoire, à l'ouest.
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Aurea vallis vers 1100, ce qui signifie en latin médiéval « val d'or », c'est-à-dire « fertile ».
À noter que l'influence germanique sur la syntaxe du latin vulgaire en Gaule du nord explique ce type toponymique. Les noms communs Orfèvre (cf. allemand Goldschmied) ou liondent (cf. allemand Löwenzahn) par exemple, relèvent de la même influence.
En 2006, des travaux effectués dans le cadre du contournement ouest de la ville de Coutances, ont permis de découvrir aux Pleines, dans une ferme gauloise (300 à ), une tombe à char,.
La seigneurie d'Orval était l'un des huit fiefs relevant de l'abbaye de Lessay. À noter que l'abbaye de Lessay était à l'origine d'une foire annuelle.
Un Ernault d'Orval figure dans l'une des listes des compagnons de Guillaume le Conquérant. Reginald ou Renaud d'Orval et son épouse donnèrent, quelques dizaines d'années plus tard, l'église d'Orval à l'abbaye de Lessay.
Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et un adjoint.
Démographie
En 2019, la commune comptait 853 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2006, 2011, 2016, etc. pour Orval) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations.
Orval a compté jusqu'à 1 485 habitants en 1806.
Baie de Sienne, confluent de la Sienne et de la Soulles.
Panoramas de la butte de Follivent et des Delles.
Pour mémoire
Site de l'ancien prieuré de Sainte-Hélène dépendant de l'abbaye de Lessay. À l'origine il s'agirait de l'ancienne abbaye de Potentinus peuplé de moines colombaniens.
Chapelle Sainte-Honorine.
L'église Sainte-Hélène.
La crypte.
La nef.
Aigle-lutrin dans l'église Saint-Hélène.
Le pont de la Roque.
La tour-lanterne.
Activité et manifestations
Sports
L'Étoile sportive d'Orval fait évoluer jusqu'en 2014 une équipe de football en division de district. L'Avant-Garde Orval-Coutances est un club cycliste ; deux courses cyclistes sont organisées chaque année en avril et en septembre.
Personnalités liées à la commune
Saint Omer (Audomarus), fils de Friulfus et de Domitta originaires d'Orval, serait né à Orval, aux environs de l’an 600.
↑Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
↑Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN2-7134-0053-8), p. 35.
↑« S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN978-2-8151-0790-7), p. 38.
↑Charles Mériaux, Gallia irradiata, Franz Steiner Verlag, 2006.
Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN978-2-9159-0709-4), p. 164.
René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN978-2-35458-036-0), p. 452.