Dans le monde d'aujourd'hui, Périmède est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large spectre de la société. Que ce soit en raison de son impact sur la politique, l’économie, la culture ou la société en général, Périmède a réussi à capter l’attention de millions de personnes à travers le monde. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes dimensions de Périmède, de son origine historique à ses implications actuelles, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante de ce sujet si actuel.
Dans la littérature grecque et dans la littérature latine, Périmède (en grec ancien Περιμήδα, dialecte dorien) est une sorcière ou une magicienne.
Comme pour le nom de Médée, celui de Périmède est issu du verbe grec « médomai » (μηδομαι) « méditer », issu de la racine d'origine peut-être médique « med » : comprendre, concevoir, auquel s'ajoute le préfixe péri-.
Ce nom révèle peut-être le savoir ou la capacité à raisonner de ce personnage.
Simaitha, la magicienne de Théocrite, dans la deuxième de ses Idylles, demande l'aide d'une certaine Périmède : « Salut, effrayante Hèkata ! soutiens-moi jusqu’au bout, et fais que mes poisons égalent en violence ceux de Kirka, ceux de Mèdéia et ceux de la blonde Périmèda !.»
Elle est mentionnée également par Properce: « Ni les philtres, ni les enchantements nocturnes de Médée, ni les breuvages que préparerait Périmédé elle-même, ne peuvent rien contre l'amour.»
Par ailleurs, Homère mentionne une « blonde Agamèdè, qui connaissait toutes les plantes médicinales qui poussent sur la vaste terre ». Elle est chez lui l'épouse de Moulios, tué par Nestor. Il s'agit peut-être de la même femme, le préfixe ayant changé mais l'étymologie et les attributs restant identiques[réf. nécessaire].