Parlé-chanté

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Le parlé-chanté est une manière d'interpréter vocalement un texte, à mi-chemin entre le chant et le langage oral courant. Dérivé du sprechgesang, le parlé-chanté est le plus souvent utilisé au sein de chansons. Il se distingue du spoken word, issu des cultures afro-américaines.

Le parlé-chanté est utilisé dans les années 1930 par la chanteuse lorraine Marianne Oswald, puis au début des années 1970 par le chanteur Léo Ferré sur des albums comme Amour anarchie (1970), Il n'y a plus rien, Et… Basta ! (1973) ou encore Métamec (posthume, 2000). Serge Gainsbourg lui emboîte le pas dans Histoire de Melody Nelson (1971) et L'Homme à tête de chou (1976). Depuis, de nombreux auteurs-compositeurs-interprètes français se sont emparés de cette façon d'oraliser leurs textes.

Chanteurs et groupes utilisant le parlé-chanté

En France

Dans le monde

Non datés/classés

Notes et références

  1. a et b Cité dans une émission de France-Culture de mai 2013.

Voir aussi

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