De nos jours, Patriarcat (Église) est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes dans la société actuelle. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Patriarcat (Église) est devenu un sujet pertinent qui couvre divers domaines de la vie quotidienne. Que ce soit dans la sphère professionnelle, personnelle, académique ou sociale, Patriarcat (Église) a eu un impact significatif sur la façon dont les gens interagissent et fonctionnent dans le monde contemporain. À mesure que Patriarcat (Église) continue d'évoluer, il est important d'analyser son influence sur divers aspects de la vie moderne et ses implications pour l'avenir. Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Patriarcat (Église) et explorerons ses dimensions, son impact et les défis possibles qu'il présente dans la société d'aujourd'hui.
Dans l'Église chrétienne, un patriarcat est une région soumise à l'autorité d'un patriarche.
En 325, le premier concile œcuménique qui siège à Nicée accorde un privilège d'honneur aux évêques de Rome, d'Antioche, d'Alexandrie et de Jérusalem (au moins de manière honorifique pour ce dernier, en souvenir de l'histoire sainte et des lieux saints).
Le 2e concile œcuménique (Constantinople - 381) étendra ce privilège à l'évêque de Constantinople, la Deuxième Rome.
Ces privilèges ne signent nullement que l'Église du Christ n'est partagée qu'en cinq patriarcats, ainsi que le prétendront certains canonistes beaucoup plus tard. En effet, à côté de ces cinq patriarcats, demeurent plusieurs Églises autocéphales indépendantes, ce que confirmera le 3e concile œcuménique (Éphèse - 431) avec, comme exemple, l'indépendance de l'Église de Chypre vis-à-vis de celle d'Antioche.
Première pomme de discorde : seul l'archevêché de Rome parlait latin ; tous les autres parlaient et écrivaient en grec. Cependant au concile de Nicée, ils s'entendent sur un seul credo : le credo de Nicée, qui fut complété au concile de Constantinople, en 381.
Seconde pomme de discorde, au Ve siècle, l'évêque de Rome revendiquait non seulement la suprématie sur les cinq patriarcats au titre de « Premier des égaux », mais aussi l'autorité sur les questions ecclésiastiques et doctrinales en raison de sa succession de Saint Pierre, ce qui ne manquait pas de soulever de vigoureuses protestations de la part des patriarcats grecs, qui, eux, optaient pour la « Pentarchie », c'est-à-dire le gouvernement commun des cinq patriarcats.
Le patriarcat de Constantinople menait la révolte en s'appuyant sur les arguments suivants :
En 2006, le pape Benoît XVI renonce au titre de Patriarche de l'Occident. La première mention de ce titre se trouve dans une lettre écrite en 450 de Théodose II au pape Léon Ier le Grand. L’année suivante aura lieu le concile de Chalcédoine durant lequel Léon refusera l’égalité entre le patriarcat de Rome et celui de Constantinople.