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Durant les guerres napoléoniennes, l’armée française a formé une foule de petites unités adjointes à la Grande armée, de taille inférieure au régiment (soit moins de 2 000 hommes), qui recrutaient des étrangers. Certaines des unités listées ci-dessous n’ont eu qu’une existence théorique (comme les régiments étrangers formés en , pendant les Cent-Jours), d’autres existaient déjà lors des guerres de la Révolution, et se sont couvertes de gloire dans toute l’Europe. Certaines sont uniquement des unités d’appoint (comme les Compagnies franches cantabres), d’autres sont des unités d’élite et sont incorporées à la Garde impériale.
Le recrutement est parfois hétéroclite, tout comme les missions assignées.
Utiles pour utiliser des combattants ennemis ayant déserté, mais parfois turbulents sur les arrières français. Ils relèvent de l’infanterie auxiliaire, et sont affectés à des garnisons : un bataillon à l’île d'Elbe, un au Fort impérial (il existe aussi un bataillon des déserteurs français rentrés).