Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre-Yves Trémois a acquis une pertinence incontournable dans de nombreux domaines. Son impact s'étend du personnel au professionnel, en passant par les sphères culturelle, sociale et politique. L'intérêt pour Pierre-Yves Trémois a augmenté ces dernières années, devenant un sujet de débat et de réflexion dans divers forums et médias. Les experts et les citoyens ordinaires sont de plus en plus intéressés à comprendre et à analyser les implications et les défis que Pierre-Yves Trémois pose dans la société contemporaine. En ce sens, cet article vise à offrir une vision panoramique et actualisée de Pierre-Yves Trémois, abordant ses multiples facettes et proposant une approche critique et réflexive de ce phénomène aujourd’hui omniprésent.
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Lié à une famille d'éditeurs proches des artistes (les éditions Pierre Trémois), Pierre-Yves Trémois est le fils de l'écrivain Eugène Florimond « Edge » Trémois (1885-1963) et d'Yvonne Robiquet,.
Jean Rostand, Le Bestiaire d’amour, 1958 En marge de cette édition, Trémois réalisa 100 monotypes grand format (peintures à l’encre d’imprimerie, pressées dans les ateliers Lacourière-Frélaut).
1971 : Galerie des Peintres-Graveurs, Paris (gravures).
1972 : Galerie Maurice Garnier, Paris : « L’Or » (objets gravés dans l’or, peintures, dessins, monotypes). Galerie Synthèse, Anvers.
1973 : Galerie Maurice Garnier, Paris : « L’homme et le singe » (peintures).
1975 : Galerie Vision Nouvelle, Paris : rétrospective de l’œuvre gravé. Galerie Maurice Garnier, Paris : « Le dessinateur » (aquarelles).
1976 : Douze expositions en France (dont château de Vascœuil) et en Belgique. Galerie Lochte, Hambourg.
1977 :
Exposition rétrospective, Musée postal de Paris. À cette occasion, un timbre Le Visage à l’aigle est émis par l’administration des Postes. Il obtient le Francobollo d’Oro (« Timbre d'Or ») de Turin ;
Réalisation d’une sculpture monumentale en bronze, « Énergies » (8 m x 3 m), pour la station du RER Châtelet-les Halles ;
Galerie Attali, Paris (18 sculptures en bronze : « Le Bestiaire fabuleux »).
1978 : Galerie Isy Brachot, Bruxelles : « Les repues » (peintures, sculptures). Galerie des Arcades, Luxembourg.
1979 : Participation à une exposition itinérante de sculptures au Japon.
1980 : One man show à la FIAC, Paris : « Pour en finir avec le singe » (peintures).
1981 :
Exposition BP, Anvers (peintures, sculptures) ;
Réalisation de 2 timbres (Paris et France) ;
1982 : Rétrospective au musée Isetan à Tokyo, suivie d’une exposition itinérante dans les principaux musées du Japon.
1983 :
Création de dix bijoux-médailles pour la Monnaie de Paris ;
Membre de l’Académie des beaux-arts (Institut de France), 1978 Élu au fauteuil Paul Lemagny, dans la section de gravure; lors de sa réception, avec un discours d’Albert Decaris, il reçoit son épée, un sabre de samouraï avec une lame du XVe siècle ornée de deux plaques d’or sur lesquelles il a gravé ces mots : « La ligne est mon partage. » Il est le doyen d'élection (à partir de 2012) et le doyen d'âge (à partir du ) de l'Académie.
Critique
« Refusant l'adhésion à un quelconque mouvement contemporain, ce peintre indépendant maintient avec autorité un style classique où il se distingue par un graphisme sobre, d'une grande pureté, et par une constante fidélité au sujet - projetant néanmoins ses figures humaines sur des formes protoplasmiques, il fait coexister ainsi plusieurs échelles de grandeur. »
— Les Muses, encyclopédie des arts
« Attiré par le corps humain, les visages, le monde animal (singes, insectes, escargots et crapauds) et l'univers scientifique contemporain, Trémois propose, à partir de ces thèmes, des variations et des méditations sur les étreintes amoureuses, l'homme confronté avec son double intérieur : le singe, ou les relations retrouvées macrocosme-microcosme à l'ère d'Einstein, de Teilhard de Chardin et de Jacques Monod. »