De nos jours, Pierre Delbrel est devenu un sujet d’un grand intérêt et d’une grande pertinence dans la société. Au fil du temps, Pierre Delbrel a joué un rôle crucial dans différents aspects de la vie quotidienne, affectant des personnes de tous âges et de tous modes de vie. Alors que Pierre Delbrel continue d’évoluer et d’acquérir différentes dimensions, il est important d’analyser en profondeur son impact dans divers domaines, de la santé à l’économie. Dans cet article, nous examinerons de plus près les nombreuses facettes de Pierre Delbrel et son influence sur la vie quotidienne, ainsi que les perspectives d'avenir qu'elle peut apporter.
Pierre Delbrel | |
Fonctions | |
---|---|
Député du Lot | |
– (3 ans, 1 mois et 20 jours) |
|
Gouvernement | Convention nationale |
Député au Conseil des Cinq-Cents | |
– (4 ans, 2 mois et 10 jours) |
|
Député de Tarn-et-Garonne | |
– (2 mois et 2 jours) |
|
Gouvernement | Chambre des Cent-Jours |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Moissac (Tarn-et-Garonne, France) |
Date de décès | (à 81 ans) |
Lieu de décès | Moissac (Tarn-et-Garonne, France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | Gauche |
Profession | Avocat Magistrat |
députés du Lot députés de Tarn-et-Garonne |
|
modifier |
Pierre Delbrel, né le à Moissac et mort le dans la même ville, est un avocat et homme politique français.
Procureur de Montauban à la Révolution française, il partit volontaire à l'armée à Metz, où il apprit son élection par le département du Lot à la Convention nationale. Dans le procès de Louis XVI, il vota contre l'appel au peuple et pour la mort avec sursis. Représentant en mission près des armées du Nord et des Ardennes en 1793, il prit part à la bataille d'Hondschoote, et fut présent à la bataille de la Sierra Negra en , prenant provisoirement le commandement des troupes françaises à la mort de Dugommier.
Le Lot l'élut ensuite membre du Conseil des Cinq-Cents où il s'occupa de législation militaire et s'opposa énergiquement au coup d'État du 18 Brumaire. Décrété de déportation, il fut sauvé par son compatriote le général Joachim Murat. Il retourna dans sa ville natale comme président du tribunal civil de première instance, et fut élu député aux Cent-Jours ; à la Restauration il fut proscrit comme régicide, et passa en Suisse, ne revenant qu'en 1818.