Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre Step est un sujet qui a acquis une grande importance dans différents domaines de la société. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou social, Pierre Step a retenu l'attention de par son impact et sa pertinence dans la vie de tous les jours. Au fil du temps, Pierre Step est devenu un sujet de débat et de discussion, générant des opinions contradictoires entre différents secteurs de la population. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Pierre Step et son influence sur divers aspects de la vie quotidienne. De ses origines à sa situation actuelle, nous analyserons comment Pierre Step a marqué un avant et un après dans la manière dont nous percevons le monde qui nous entoure. Il est donc crucial de comprendre l’importance de Pierre Step et son impact sur notre société.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Pierre Stéphany |
Pseudonyme |
Pierre Step |
Nationalité | |
Domicile | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Genre artistique | |
Distinction |
Pierre Step, né Pierre Stéphany en 1925 à Chaineux (province de Liège) et mort le , est un journaliste, historien, écrivain et scénariste de bande dessinée belge francophone.
Pierre Stéphany naît en 1925, à Chaineux,. Il commence une carrière de journaliste à l'âge de 20 ans. Selon Marc Pasteger du Soir Mag, il tient « magistralement » la chronique télé de La Libre Belgique. Pendant 20 ans, il couvre l'actualité de l'audiovisuel pour ce quotidien. Il multiplie ses contributions à différentes publications telles Le Patriote illustré, L’Éventail, Revue générale et Paris Match.
En 1955, il entame une collaboration dans les périodiques de bande dessinée en écrivant trois nouvelles pour le dessinateur Maurice Tillieux dans le Journal de Paddy dont le rédacteur en chef est Michel Greg.
En 1958, il entame une longue collaboration dans le journal Tintin en écrivant des nouvelles illustrées par les époux Liliane et Fred Funcken, Will, Jean Graton, François Craenhals, Géri, Raymond Macherot, Charles Jarry, Sidney, et des contes pour William Vance, Jacques Laudy et Fonske, ainsi que des rubriques rédactionnelles et de courts récits historiques et réalistes pour les dessinateurs Fernand Cheneval, Édouard Aidans, Albert Weinberg, Gérald Forton, Mazel, André Beckers, Eddy Paape, Hermann, Dany, Christian Denayer et Jeronaton. La collaboration avec cet hebdomadaire s'arrête en 1977. Quelques rares récits seront publiés tardivement dans des albums collectifs chez de petits éditeurs ou promotionnels comme Les Grandes Victoires de l'énergie chez Publiart en 1981.
En 1959, il livre quatre courts récits pour les dessinateurs Édouard Aidans, André Gaudelette et Francey dans Line. Il écrit également pour les dessinateurs Marc-René Novi et Claude-Henri.
En 1964, il écrit un court récit de six pages pour Mister Kit dans Record.
En outre, il contribue comme historien à l'album collectif Il était une fois... Les Belges avec trois histoires : La Triste Histoire du sire de Bitremont (dessin : Jannin), Les Hauts et bas du professeur Piccard (dessin : Dupa) et Les 60 matches de l'union (dessin : Godi), publié aux éditions du Lombard en 1980,. puis, il s'éloigne de la bande dessinée. Il y revient par un essai historique L'Histoire de Belgique au fil de la BD de 1830 à nos jours publié par la maison d'édition Versant Sud en 2005. L'ouvrage est préfacé par Jean Auquier, directeur de la communication du Centre belge de la bande dessinée.
En 1983, il écrit 1ère période: 1918-1929 ou l'après-guerre et 2ème période: 1930-1940 ou l'avant guerre, publiés dans la collection « Années '20 - '30 » aux éditions bruxelloises Legrain, réédités sous le titre Quand le siècle n'avait que 20 ans. Cet ouvrage lui vaut d'être récipiendaire du prix Carton de Wiart décerné par l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique la même année. Il est coauteur, avec René Haquin, d’un ouvrage consacré aux grandes affaires criminelles qui ont marqué la Belgique.
Comme historien, il écrit de très nombreux ouvrages qu'il signe de son vrai nom et dont le thème principal est l'histoire de la Belgique,,.
Il écrit par ailleurs dans Nouvelle Biographie nationale, tome 11 des biographies de personnalités belges décédées dont celle de Gérard Valet.
Passé l'âge de 90 ans, il continue d'écrire pour le Soir Mag.
Il meurt le à l'âge de 94 ans,.
Liste non exhaustive
Les Belles Histoires de l'Oncle André série finie
Tirage : 150 exemplaires. Cet album inédit regroupe de Belles Histoires de l’Oncle André, parues dans Tintin, de 1959 à 1968, du numéro no 581 au no 1030. |
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.