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| Ranibizumab | |
| Identification | |
|---|---|
| No CAS | |
| Code ATC | S01 |
| DrugBank | DB01270 |
| Propriétés chimiques | |
| Formule | C2158H3282N562O681S12 |
| Masse molaire[1] | 48 379,286 ± 2,333 g/mol C 53,57 %, H 6,84 %, N 16,27 %, O 22,52 %, S 0,8 %, |
| Considérations thérapeutiques | |
| Voie d’administration | Intravitréenne |
| Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
| modifier |
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Le ranibizumab, vendu sous le nom de marque Lucentis, est un fragment d'anticorps monoclonal, inhibiteur de la protéine VEGF, utilisé pour traiter la dégénérescence maculaire liée à l'âge, la rétinopathie diabétique et autres œdèmes maculaires.
En France, il figure parmi les médicaments les plus remboursés par l'Assurance maladie (remboursement brut total de 287 millions d'euros en 2023)[2].
Le ranibizumab a été développé par Genentech, filiale de Roche, et commercialisé par eux aux États-Unis, et ailleurs par Novartis. Il est approuvé pour un usage médical aux États-Unis en juin 2006 et dans l'Union européenne en janvier 2007.
Son efficacité est similaire à celle du bévacizumab (nom commercial : Avastin, aussi vendu par Roche)[3],[4], cependant, le prix du ranibizumab est beaucoup plus cher. En février 2014, l'Autorité italienne de la concurrence inflige à Roche et Novartis une amende de 182,5 millions d'euros pour entente illicite privilégiant la vente du ranibizumab[5].
Depuis 2021, il existe des médicaments biosimilaires.