Dans le monde d'aujourd'hui, Rue Delambre est devenu de plus en plus important. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou académique, Rue Delambre est devenu un sujet d'actualité qui suscite intérêt et débat. L'évolution technologique, les changements sociaux, les avancées scientifiques ou encore les événements politiques ont contribué à ce que Rue Delambre occupe une place de choix dans l'agenda public. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Rue Delambre, en analysant son impact, ses implications et sa pertinence dans la société actuelle.
No 4 : l'industrielle des cosmétiques Helena Rubinstein finance la librairie que son premier mari Edward Titus ouvre au 4 rue Delambre en 1924, qu'il nomme « At the Sign of the black Manikin » et où il crée une maison d'édition. Ami de nombreux écrivains (Ernest Hemingway, James Joyce ou encore Francis Scott Fitzgerald), il les présente à son épouse,.
No 5 : demeure du peintre japonais Tsugouharu Foujita, de 1917 à 1924. Foujita y hébergea en 1922 son compatriote Toshio Bando.
No 7 : en 1929, une fresque ayant pour titre L'Italie, ou La Cueillette des olives, a été réalisée par Élisabeth Faure, avec son amie Marthe Flandrin, dans le préau de l'école des filles, dont l'architecte est Georges Pradelle.
No 9 : immeuble d'ateliers, Art déco, construit sous la conduite de l'architecte Henry Astruc en 1925, avec la participation du peintre verrier Francis Jourdain, notamment pour les vitraux donnant sur la cour, bâtiment propriété d'un certain Monsieur Casaubon. En 1937, le photographe Erwin Blumenfeld y ouvre un studio photo. En décembre 1939, Betty Hoop ouvre un cabaret qui porte son nom ; dancing évoqué par Simone de Beauvoir dans Lettres à Sartre.
No 11 bis : le bar Rosebud est situé à cette adresse. Avant ce bar ouvert dans les années 1960, il y avait le restaurant Chez Jacques.
No 13 : hôtel Villa Modigliani, dont le parking actuel servit d'atelier au photographe Man Ray, qui logeait au no 15 de la même rue[réf. nécessaire]. Adresse de Gens d'images.
No 15 : grand hôtel des Écoles où, à leur arrivée à Paris, descendent Jules Pascin, en 1905 et Tristan Tzara, en 1921. C'est également dans cet hôtel, devenu l'hôtel Lenox, que séjournent Henry Miller et sa femme, June, de 1928 à 1930. Demeure aussi de Man Ray, chambre 37[réf. nécessaire].
Le futur cardinal Jean-Marie Lustiger (1926-2007) a vécu avec sa famille rue Delambre, avant que l'appartement soit pillé et placé sous scellés pendant l'Occupation.
Dans la chanson
La rue Delambre est mentionnée par :
Jacques Higelin dans sa chanson Lettre à la p'tite amie de l'ennemi public no 1 (1978) : « Ça fait trois heures que je glande / Dans ce bar de la rue Delambre » ;