Dans le monde d'aujourd'hui, Rue Michel-Ange a acquis une grande importance et un grand intérêt, générant de nombreuses discussions et recherches dans différents domaines. Depuis son émergence, Rue Michel-Ange a eu un impact significatif sur la société, l’économie, la culture et la science, entre autres aspects. Au fil des années, Rue Michel-Ange a évolué et s'est adapté aux différents besoins et exigences du contexte actuel, jouant un rôle crucial dans le développement et la transformation de divers secteurs. C'est pourquoi il est pertinent d'analyser et de comprendre en profondeur l'impact et la portée de Rue Michel-Ange aujourd'hui, ainsi que ses implications futures.
Cette voie, ouverte par un décret du , prend sa dénomination actuelle par un autre décret du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
No 2 bis : sous-station Auteuil. Immeuble qui abrite un transformateur électrique convertissant le courant électrique pour les besoins du métro de Paris.
No 3 : un ensemble immobilier de six bâtiments accueille l'administration du CNRS, le campus Gérard-Mégie (le bâtiment principal est l'hôtel de Verrières, situé aux nos 43-47, rue d'Auteuil),.
No 8 : la famille de l'écrivain Michel Leiris (1901-1990) s'y installe à partir de 1904.
No 12 : collège et lycée privé catholique Notre-Dame-des-Oiseaux. Il est membre de la fondation Pierre Fourier – Alix Le Clerc (chanoinesses de Saint-Augustin de la congrégation Notre-Dame). L'ensemble scolaire dispose aussi d'une école primaire, située dans le même quartier, 21 rue Erlanger,.
No 19 : le cycliste André Leducq y vécut ; une plaque lui rend hommage.
No 23 : le sociologue Georges Sorel y a habité quelques années jusqu'en 1895.
Nos 25-27 : l'historien de Paris Jacques Hillairet mentionne dans les années 1960 la présence de deux hôtels particuliers de style néo-Renaissance érigés en 1880. Le no 25 a disparu, remplacé par un immeuble moderne, mais le no 27 existe toujours. L'historien notait par ailleurs la présence du couvent des religieuses Marie-Réparatrice au no 27, désormais aux nos 29-33, dans un ensemble de bâtiments plus récent.
No 28 : le journaliste et économiste russe Dimitri Navachine y a logé.
Nos 29-33 : couvent Marie-Réparatrice. Dans les années 1970, Jacques Hillairet situait au no 31 une église russe, catholique, de la Sainte-Trinité.
No 38, à l'angle de la rue Molitor : immeuble construit en 1968-1969 par l'architecte Jean Ginsberg.
No 51 : école élémentaire publique d'application.
No 65 : Jacques Hillairet mentionne dans les années 1960 la présence de l'église orthodoxe française de l'Apparition-de-la-Sainte-Vierge. De nos jours un immeuble moderne.
No 77 bis : maison natale, en 1903, de Pierre Brossolette ; une plaque lui rend hommage.