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Séminaire Saint-Vivien | |||
La caserne Philippon | |||
Présentation | |||
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Type | séminaire | ||
Début de la construction | 1691 | ||
Protection | IGPC Notice no IA00022514 | ||
Géographie | |||
Pays | France | ||
Région | Haute-Normandie | ||
Département | Seine-Maritime | ||
Ville | Rouen | ||
Coordonnées | 49° 26′ 33″ nord, 1° 06′ 17″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Séminaire de Saint-Vivien est un ancien séminaire situé rue Saint-Vivien, dans le quartier de la Croix-de-Pierre, à Rouen.
Fondé en 1659 par François II de Harlay, archevêque de Rouen, il est dirigé par les prêtres de la Congrégation des Eudistes. Ce grand séminaire ou séminaire archiépiscopal s'adresse aux « grands clercs ».
Le terrain est acquis, au nom des Eudistes, le par Pierre-Maris de La Motte, évêque de Béryte, à l'emplacement d'un ancien couvent d'Annonciades. Il ouvre le .
La chapelle Saint-Marc ou du Clos Saint-Marc est réunie au séminaire vers 1693. La chapelle du Séminaire, dédiée à la Vierge, est construite à partir de 1765.
En 1789, le cardinal de la Rochefoucauld réunit le prieuré Saint-Jacques du Val-aux-Grès (Bolbec). Il est supprimé en 1792, et les locaux sont désaffectés. Après le Concordat, il est réuni au Séminaire Saint-Nicaise.
Les bâtiments ont servi de prison pour les prêtres insermentés. Vendus, ils ont servi d'établissements industriels. Acquis en 1871 par la ville de Rouen pour devenir une école de commerce, l'ancien séminaire devient à la fin du XIXe siècle la caserne Philippon.