Le sujet de Sleep and Poetry est aujourd’hui un sujet largement discuté et analysé. Depuis des années, elle occupe une place prépondérante dans les débats académiques, politiques et sociaux. Sa pertinence tient à son impact sur la vie quotidienne des gens, ainsi que sur le développement de différents domaines d'études. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Sleep and Poetry, de ses origines à ses implications dans la société contemporaine. En outre, son influence dans divers domaines, tels que l'économie, la technologie, la culture et la politique, sera examinée. A travers cette analyse exhaustive, nous visons à offrir une vision globale de Sleep and Poetry et de son importance dans le monde d'aujourd'hui.
Auteur | |
---|---|
Date de création | |
Type |
Sleep and Poetry est un sonnet écrit en 1816 par le poète romantique anglais John Keats.
Après le premier succès On First Looking into Chapman's Homer, un sonnet consacré à la traduction d'Homère, paraît un recueil comprenant I stood tip-toe (« Je me tenais sur la pointe des pieds ») et Sleep and Poetry (« Sommeil et poésie »), tous les deux portant l'influence de Leigh Hunt. Lors des séjours de Keats dans le cottage de Hunt, un petit lit est ouvert pour lui dans la bibliothèque et c'est là que les deux sonnets sont écrits. Il est commencé tard un soir à écrire Sleep and Poetry. John Hamilton Reynolds est le seul à leur consacrer un compte rendu favorable dans The Champion, mais Charles Cowden Clarke déclare que, vu son succès, « à la rigueur, le livre aurait eu une chance à Tombouctou ». Les éditeurs de Keats, Charles et James Ollier, ont honte de cet échec et d'après Andrew Motion, prient le poète de changer d'éditeur.
Il est souvent cité comme un exemple clair de la poésie centrée sur la nature propre de Keats, mais il contient des lignes qui posent un problème de lecture simpliste, tel que : « First the realm I'll pass/Of Flora, and old Pan ... I must pass them for a nobler life,/Where I may find the agonies, the strife /Of human hearts ». Sur le plan personnel, Keats espère vivre assez longtemps pour émuler la gloire de Shakespeare et de Milton : il se donne une décennie pour lire, apprendre, comprendre et surpasser ses prédécesseurs.
En outre, Keats défend ses débuts de sujet "centré sur la réalité", qui rappelle la tradition poétique classique de Homère et de Virgile. Keats lance une attaque contre Alexander Pope et beaucoup de ses confrères de la poésie romantique en minimisant le commencement de leur poésie dans l'imaginaire Keats : « with a puling infant's force/They sway'd about upon a rocking horse,/And thought it Pégase. Ah dismal soul'd! » (185-7). Bien que les vers sont composés en rimes simples, le retournement progressif vers l'intériorité constitue les prémices de la poésie postérieure de Keats.