Dans le monde d’aujourd’hui, Société historique et archéologique du Périgord est un sujet qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de ses impacts sur la société ou de son influence sur la culture populaire, Société historique et archéologique du Périgord est devenu un point central de débat et de réflexion. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Société historique et archéologique du Périgord et examinerons son importance dans le contexte actuel. De son origine à ses conséquences possibles, nous approfondirons une analyse approfondie de Société historique et archéologique du Périgord et de son rôle dans le monde moderne.
Acta maiorum serva lumine caleat veritas |
Fondation |
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Sigle |
SHAP |
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Type | |
Forme juridique | |
Domaine d'activité |
Histoire, archéologie du Périgord |
Siège | |
Pays | |
Langue |
Président |
Dominique Audrerie (depuis ) |
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Affiliation | |
Publication |
Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord |
Site web |
RNA | |
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SIREN |
La Société historique et archéologique du Périgord (abrégée SHAP) est une société savante créée en 1874. Elle a pour but la recherche, l'étude et la conservation des documents et des monuments anciens, de tous les âges qui intéressent l'histoire du Périgord. Elle étudie l'histoire et l'archéologie du Périgord et ne publie que des documents inédits (ou présentés sous un angle de vue original).
À sa création, le 27 mai 1874 à Périgueux, dans l’ancien Musée archéologique, par le Dr Édouard Galy, conservateur du Musée, élu Président, Alfred de Froidefond et Dujarric-Descombes, la SHAP compte 155 membres fondateurs. Elle réunit des aristocrates, des prêtres, des professions libérales, des fonctionnaires, etc. La noblesse représente alors le quart de ses membres. La généalogie ne figure pas parmi les travaux prévus par l'association, même si Eugène Massoubre prononce dans une séance d'installation de 1874 : « Nos explorations en contribuant à l'illustration des familles concourront à l'éclat de la patrie périgourdine ». En 1908, la noblesse constitue le tiers des effectifs, mais l'article 4 du règlement intérieur précise : « aucune généalogie de famille ne sera admise, ce genre de travail étant d'un intérêt trop restreint,».
La SHAP est reconnue d'utilité publique.
Identité | Période | Durée | |
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Début | Fin | ||
Édouard Galy | 13 ans et 14 jours | ||
Michel Hardy | 5 ans, 9 mois et 29 jours | ||
Anatole de Rouméjoux | 9 ans, 1 mois et 4 jours | ||
Gérard de Fayolle | 30 ans, 9 mois et 10 jours | ||
Joseph Roux | 10 ans, 11 mois et 2 jours | ||
Charles Lafon | 22 ans et 5 mois | ||
Jean Secret | 12 ans, 4 mois et 21 jours | ||
Gilles Delluc | 11 ans | ||
Pierre Pommarède | 15 ans | ||
Gérard Fayolle | 11 ans | ||
Dominique Audrerie, |
En 1925, l’anatomiste et anthropologue Léo Testut a légué à la Société historique et archéologique du Périgord des fonds, du matériel archéologique et un dolmen. Ce legs important a permis à l'association de donner un essor à ses publications et à son Bulletin trimestriel, mais surtout d'acquérir, en , l'hôtel de Fayolle (18 rue du Plantier à Périgueux) pour y abriter bibliothèque, documents, iconothèque, et y tenir ses réunions jusqu'en 2018. L'immeuble principal a été vendu en 2019. De nouveaux locaux plus fonctionnels — inaugurés le 21 septembre 2019 — ont été aménagés à la même adresse et les réunions se tiennent désormais à la médiathèque Pierre-Fanlac de Périgueux.
Le dolmen de Blanc (Nojals-et-Clotte) appartient toujours à la Société qui entretient la tombe du Dr Testut au cimetière de Beaumont-du-Périgord.
Sur le sceau de la société on lit : Acta majorum serva (« garde le souvenir des actions des ancêtres »). Au-dessous est allumée une lampe à tige de suspension, c'est le « chaley », la lampe du travailleur des campagnes du Périgord, et en dessous : lumine caleat veritas (« que la lumière réchauffe la vérité »).
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.