Sophie Antoniadis

Aujourd'hui, Sophie Antoniadis est un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt dans la société actuelle. De par ses multiples perspectives, ce sujet a suscité des débats et a retenu l’attention des experts et des personnes intéressées à comprendre ses implications. Tout au long de l'histoire, Sophie Antoniadis a fait l'objet d'études et d'analyses et a joué un rôle fondamental dans la prise de décision au niveau personnel, professionnel et social. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Sophie Antoniadis, dans le but d'offrir une vision complète et actualisée de son importance et de sa pertinence dans le panorama actuel.

Sophie Antoniadis
Fonction
Membre de l'Académie d'Athènes
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 76 ans)
AthènesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Σοφία ΑντωνιάδηVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Domicile
Nachtegaallaan (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Université de Leyde ( - )
Université d'Amsterdam ( - )
Université de Leyde (à partir du )
Institut hellénique d'études byzantines et post-byzantines. Venise, Italie (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions

Sophie Antoniadis ou Antoniadès (en grec moderne : Σοφία Αντωνιάδη / Sofía Antoniádi), née le au Pirée et morte le à Athènes, est une philologue et historienne grecque.

Biographie

Après avoir fait ses études à la faculté des lettres de Paris, Sophie Antoniadis est nommée professeur à l'université de Leyde (1929). Directrice de l'Institut hellénique d'études byzantines et post-byzantines à Venise (1960) et de la revue Thesaurismata.

Œuvres

  • Sacrifice d'Abraam, 1922.
  • La comédie classique française, 1925.
  • Importance du grec moderne, Brill, 1929.
  • L’Évangile de Luc : esquisse de grammaire et de style, Les Belles Lettres, 1930.
  • Pascal traducteur de la Bible, 1930.
  • Place de la liturgie dans la tradition des lettres grecques, Leide, A.W. Sijthoff, 1939.

On lui doit aussi des communications à l'Académie d'Athènes sur des recherches faites dans les archives de la Confrérie des Grecs et dans les archives d’État de Venise (1957-1960) ainsi qu'une communication sur l'Institut hellénique de Venise à l'Académie des inscriptions et belles-lettres (1960).

Bibliographie

Notes et références

  1. « Liste générale des membres de l'Association », Revue des Études Grecques, Persée, vol. 61, no 286,‎ , p. 47–63 (lire en ligne, consulté le ).
  2. Grote Winkler Prins, vol. 2, R-C. van Caenegen, Amsterdam Elsevier, 1979.
  3. Comprendre : revue de politique de la culture, Venise, éditions Société européenne de culture, directeur Umberto Campagnolo, no 28, 1964, p. 276.
  4. Critique de Jean Gouillard, Revue des études byzantines.

Liens externes