Surface alaire
Dans le monde de Surface alaire, il existe une multitude d'informations à découvrir et à explorer. De ses origines à son influence sur la société actuelle, Surface alaire a suscité l'intérêt de nombreuses personnes au fil des années. Dans cet article, nous approfondirons les aspects les plus pertinents de Surface alaire, de ses contributions à la culture à son impact sur la vie quotidienne. À travers une analyse détaillée et minutieuse, nous examinerons toutes les facettes de Surface alaire, offrant ainsi une vision complète et enrichissante à nos lecteurs. Préparez-vous à vous immerger dans le monde fascinant de Surface alaire !
Pour les articles homonymes, voir Surface.
Cet article est une ébauche concernant l’aéronautique.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
La surface alaire d'un avion ou d'un planeur est l'aire des ailes projetée sur le plan horizontal (visible dans la vue de dessus), empennage non compris.
Elle se calcule comme toute aire en mathématiques. La surface reliant les ailes à travers le fuselage est incluse dans le calcul.
La surface alaire et la vitesse sont des facteurs qui déterminent la portance de l'appareil.
La portance varie avec le carré de la vitesse : un avion allant moins vite compense ce manque de vitesse par une surface plus importante ; à l'inverse, les avions les plus rapides ont de petites ailes de moindre superficie, ce qui réduit leur traînée à grande vitesse, mais augmente leur vitesse de décrochage. Pour garder une vitesse de décrochage raisonnable tout en diminuant la surface alaire, on ajoute souvent des dispositifs hypersustentateurs aux ailes.
Exemples
- Grande surface alaire
- An-225 : 905 m2
- Petite surface alaire
- Morane-Saulnier Rallye : 12,3 m2
- Très petite surface alaire
- MC-15 Cri-Cri : 3,1 m2
- Grande surface alaire
- North American XB-70 : 585 m2
- B-52 : 371,60 m2
- Petite surface alaire (engin sans pilote)
- X-43 : ~ 2 m2
Voir aussi
Articles connexes
