Actuellement, Trève est un sujet qui a retenu l'attention d'un large public en raison de son impact sur différents domaines de la société. Depuis son émergence, Trève a généré des débats et des discussions allant de sa pertinence dans l'histoire à son influence sur la vie quotidienne des gens. Dans cet article, nous explorerons en détail les aspects les plus significatifs liés à Trève, en analysant ses origines, son évolution et ses implications aujourd'hui. De plus, nous examinerons comment Trève a façonné différents aspects de la culture, de la politique, de l’économie et de la technologie, montrant son influence dans différents contextes au fil du temps.
Une trève (trev, treo ou tre, en breton) est, en Bretagne, une succursale de paroisse, subdivision rendue nécessaire par l'éloignement du lieu de culte paroissial. Ce terme religieux a, en toponymie, le sens de quartier. L'habitant d'une trève est un trévien (trevad ou trevian, en breton).
Le breton trev, tre(o) remonte au moyen breton treff (identique au gallois tref « habitation, hameau »), lui même du vieux breton treb « lieu habité » (identique au radical gaulois treb- que l'on rencontre par exemple dans le nom de la tribu des Atrebates « les Habitants » cf. Arras, Artois). Plus loin, c'est un parent du proto-germanique ƿurpa- > allemand Dorf « village », néerlandais / bas allemand dorp, vieil anglais ƿorp, etc..
La chapelle ou l'église d'une trève est appelée chapelle tréviale ou église tréviale.
Beaucoup d'anciennes églises tréviales sont devenues paroissiales et de nombreuses trèves bretonnes sont devenues des communes lors de la Révolution française ou plus tard, dans le courant du XIXe siècle, parfois même dans les premières décennies du XXe siècle.
Dans le domaine brittophone, le mot treb, treff ou trev / tre(o) entre en composition de nombreux toponymes — prenant en compte les mutations consonantiques (un t devient d après un article, ou adoucissement d'une autre initiale)…
Le Lexique étymologique des termes les plus usuels du breton moderne (pp. 4 et 271) de Victor Henry indique : « Tréô, s. f. variante de tréf. V. ce mot et adré » et « Tréf, s. f. territoire dépendant d’une succursale. V. sous adré »
Sur l’île de Man, une treen était une subdivision des paroisses. Le mot tre est aussi un élément de composition des toponymes très fréquent dans les Cornouailles britanniques, où il semble désigner des hameaux.