Dans cet article, nous plongerons dans le monde passionnant de Tronc cérébral, en explorant ses origines, sa pertinence aujourd'hui et ses impacts possibles dans le futur. Depuis sa création, Tronc cérébral a suscité l'intérêt et la curiosité de personnes de tous âges et de toutes professions, devenant un sujet récurrent dans les conversations, les débats et les études universitaires. Tout au long de cet écrit, nous approfondirons les aspects les plus pertinents de Tronc cérébral, analysant ses implications dans différents contextes et offrant un regard critique sur son influence sur la société contemporaine. Grâce à une approche globale, nous chercherons à fournir à nos lecteurs une compréhension plus complète de Tronc cérébral et de ses implications dans le monde d'aujourd'hui.
Le tronc cérébral appartient au système nerveux central, et plus particulièrement à l'encéphale. Il est situé dans la fosse crânienne postérieure, sous le cerveau et en avant du cervelet. Il est structurellement continu avec la moelle épinière, qui commence à la première racine spinale. Le tronc cérébral est relié au cerveau, via les pédoncules cérébraux du mésencéphale, et au cervelet, via les pédoncules cérébelleux supérieurs (mésencéphale), moyens (pont) et inférieurs (moelle allongée). C'est également le lieu d'émergence de dix des douze paires de nerfs crâniens (de la IIIe paire à la XIIe).
Le tronc cérébral est oblique en haut et en avant, et se compose de haut en bas :
Une partie des faces postérieures de la moelle allongée et du pont constitue le plancher du quatrième ventricule.
Le tronc cérébral est responsable de plusieurs fonctions dont la régulation de la respiration et du rythme cardiaque, la localisation des sons, etc. C'est également un centre de passage des voies motrices et sensitives, ainsi qu'un centre de contrôle de la douleur. Au cours du sommeil paradoxal, le tronc cérébral paralyse le corps, ce qui empêche le sujet de se lever pour « vivre ses rêves ».
Les recherches du Dr Kevin Nelson tendent à montrer que les stimulations initiales qui déclenchent les visions dites d'expériences proches de la mort (NDE) proviennent du tronc cérébral.
Au cours de la 4e semaine de développement embryonnaire, le tube neural se différencie en trois vésicules : le prosencéphale, le mésencéphale et le rhombencéphale. Lors de la 5e semaine, le rhombencéphale se différencie en métencéphale et myélencéphale, qui donneront respectivement le pont et le cervelet, et la moelle allongée. La vésicule mésencéphalique ne se différencie pas et constituera la partie haute du tronc cérébral.
La moelle allongée (ou bulbe rachidien) est la partie inférieure du tronc cérébral. Elle est limitée en bas par la moelle spinale (au niveau de la première racine spinale) et en haut par le sillon pontomédullaire.
Le sillon pontomédullaire est le lieu d’émergence de certains nerfs crâniens :
Le pont (ou protubérance annulaire) constitue la portion moyenne du tronc cérébral. Il est limité en bas par le sillon pontomédullaire et en haut par le sillon pontopédonculaire.
Le mésencéphale forme la région supérieure du tronc cérébral, constituant le cerveau moyen. Il est limité en bas par le sillon pontopédonculaire et en haut par le tractus optique (en). Il est constitué de trois parties principales : les deux pédoncules cérébraux, le tegmentum mesencephali (ou calotte du mésencéphale) et le tectum mesencephali (ou toit du mécencéphale).
On retrouve, au niveau du mésencéphale, plusieurs amas de substance grise dont :
La vascularisation du tronc cérébral est assurée par différentes artères :