Dans cet article, nous allons explorer le monde fascinant de Tympan humain, un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. De son impact sur la société à ses possibles implications futures, Tympan humain a généré des débats, des recherches et d'innombrables opinions contradictoires. Au fil de ces pages, nous plongerons dans son histoire, explorerons ses différentes facettes et examinerons sa pertinence aujourd’hui. Que vous connaissiez Tympan humain ou que vous découvriez son importance pour la première fois, cet article vous invite à réfléchir sur un sujet qui continue sans aucun doute de marquer notre société.
Système | |
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Connecté avec | |
Comprend |
Pars flaccida, umbo of tympanic membrane (en), pars tensa (d) |
Nom latin |
membrana tympani |
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MeSH |
A09.246.272.702 |
Nom MeSH |
Tympanic+Membrane+Lydia |
TA98 |
A15.3.01.052 |
TA2 |
6870 |
FMA |
9595 |
Sujet |
230 |
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Page |
1039 |
En anatomie, le tympan est une membrane fibreuse séparant l'oreille externe et l'oreille moyenne. Le tympan est chargé de récolter les vibrations dues aux sons arrivant par le conduit auditif externe, et de les transmettre à la chaîne ossiculaire.
Le tympan a une forme arrondie légèrement plus étroite dans le sens antéropostérieur (sa hauteur est en moyenne de 10 mm sa largeur de 8 mm). Il n'est pas dans un plan sagittal mais regarde en avant en bas et en dehors. De ce fait, il a une surface plus grande que la section du conduit auditif externe, soit environ 60 mm2. Le tympan n'est pas une membrane plane, mais a une forme de cône, dont le sommet, correspondant à l'ombilic du marteau, est déprimé vers l'intérieur de 2 mm par rapport aux bords.
Le tympan normal peut parfois présenter une vasodilatation (dilatation des vaisseaux sanguins) qui est la conséquence du réflexe rouge provoqué par une stimulation du conduit auditif externe.
Le tympan s’insère dans le sillon tympanique (sulcus) par l’intermédiaire d’un bourrelet fibreux annulaire dit de Gerlach. Cet anneau, au niveau de l’échancrure de Rivinus, s’insère sur la courte apophyse du marteau en donnant les ligaments tympano-malléolaire antérieur et postérieur.
Le tympan peut être visualisé grâce à un examen otoscopique. Le schéma suivant révèle les différentes parties du tympan :
À partir des ligaments tympano-malléolaires on décrit deux parties :
On perce parfois les tympans lorsque cela s'avère nécessaire. Il s'agit d’un acte qui n’est pas anodin et qui répond à des critères précis, notamment dans ses indications et dans sa réalisation. Suivant les indications, la paracentèse peut se pratiquer sous anesthésie locale (par injection ou par contact) ou sous anesthésie générale, mais jamais à vif. C'est un acte préalable à l'implantation d'un drain transtympanique (ou diabolo).
Dans les chirurgies des osselets et surtout de l’étrier, l’accès à la chaîne des osselets se fait en soulevant le tympan sous le sulcus, il n’est donc pas ouvert. Cette technique est également usitée pour les greffes simples. Dans les cas les plus complexes une « voie postérieure » est choisie pour permettre un accès large aux cavités de l'oreille moyenne. Cette voie nécessite le décollement du pavillon et une mastoïdectomie, à savoir un fraisage de la mastoïde.
Pour reboucher un tympan percé, on peut pratiquer une myringoplastie, par exemple lorsque le trou pratiqué lors de l'insertion d'un drain transtympanique ne se rebouche pas naturellement.