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L'Union démocratique belge (UDB) est un parti politique belge éphémère, fondé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par Pierre Clerdent et Antoine Delfosse.
Pensé à Londres pendant la Deuxième Guerre mondiale au moment où les ministres belges y siégeaient et basé sur le modèle des travaillistes, le parti était issu des mouvements de la Résistance et visait à rapprocher les socialistes et les sociaux-chrétiens. Il est fondé le 16 juillet 1945 par des représentants de l'aile gauche de la démocratie-chrétienne.
L'UDB eut deux ministres, à la suite de la démission des ministres sociaux-chrétiens, dans le gouvernement Achille Van Acker du au ): le ministre de la justice Marcel Grégoire, le ministre de la reconstruction et de dommages de guerre Jacques Basyn. Franz de Voghel, proche de l'UDB sans en être membre, fut ministre des Finances dans ce même gouvernement, ainsi que dans les gouvernements Paul-Henri Spaak () et Van Acker (mars-). Le parti est soutenu publiquement par quelques syndicalistes chrétiens wallons, mais il est désavoué par l'archevêque de Malines Joseph-Ernest Van Roey.
Aux premières élections législatives d'après-guerre en 1946, il s'avéra qu'il s'agissait d'un parti de 'chefs', sans assise réelle dans le pays. Il ne récolta en tout que quelque 50 000 voix, principalement à Bruxelles.
Après cet échec cuisant, résultant en l'élection d'un seul représentant, le parti fut dissous. Comme en témoignent des épisodes postérieurs, l'idée du rassemblement des progressistes restera cependant vivace en Wallonie.
Plusieurs dirigeants de l'UDB se tournèrent vers le Parti social-chrétien (PSC) :
Marcel Grégoire , Paul Michel Lévy, Max Bastin, Jacques Basyn, Arthur Bertinchamps, René Vandeghinste, Irénée van der Ghinst, Franz de Voghel et William Ugeux poursuivirent tous des carrières dans la société civile.