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L'Union féminine civique et sociale est une association loi de 1901 créée en 1925 par Andrée Butillard (1881-1955). Branche féminine du catholicisme social, c'est un mouvement qui défend le principe du vote familial.
Le but de l’UFCS, défini dans les statuts du , est de « grouper les personnes qui désirent travailler à promouvoir en France l’ordre social chrétien, conformément à la doctrine catholique. Elles veulent dans ce but développer l’éducation sociale des différents milieux et exercer les droits civiques que donnerait à la femme l’électorat et l’éligibilité ». Contrairement aux organisations suffragistes qui défendent un vote féminin, l'UFCS défend prioritairement un « vote familial » où « le nombre de voix est proportionnel à la taille de la famille ».
Créée le , l'UFCS est d'abord établi au 25, rue de Valois, à Paris.
Andrée Butillard en est la secrétaire générale (1925-1940) puis la présidente (1940-1949). Le premier conseil (1925-1940) de l'UFCS est composé de Mesdames Aubin, de Beaumont, Pinon, Pivert, Aubert, Bourel, de Tailhandier, de Lanouvelle, Balmary, Brosse, Locq, Boussard, Doutre.
Alors que les organisations féministes françaises choisissent après 1940 la voie de la dissolution, l'UFCS, sous la direction de Butillard, accepte de participer aux structures mises en place par le régime de Vichy. À titre individuel, plusieurs de ses membres s'engageront cependant dans la Résistance, notamment Daisy-Georges Martin et Yvonne Pagniez.
En 1965, l'UFCS se déconfessionalise.
En 1975, l'UFCS fête ses cinquante ans d'existence .
En 2008, l'UFCS fusionne avec Familles Rurales.