Dans cet article, nous aborderons Vers blanc, un sujet d'une grande importance aujourd'hui. Vers blanc est un point d'intérêt qui a retenu l'attention des experts, des universitaires et du grand public en raison de son impact sur divers aspects de la vie quotidienne. Grâce à une analyse détaillée et à une exploration exhaustive de ses différents aspects, nous cherchons à mieux comprendre les implications de Vers blanc dans le monde d'aujourd'hui. De plus, nous examinerons son évolution au fil du temps et son influence dans différents domaines, afin de proposer une vision globale qui enrichit le débat autour de ce sujet. Sans aucun doute, Vers blanc est un sujet qui suscite beaucoup d’intérêt et de controverse, il est donc essentiel de l’aborder avec le sérieux et la profondeur qu’il mérite.
Le vers blanc est un vers syllabique sans rime.
Musset en a fait usage dans le cadre du mouvement romantique. Bien plus tard, Pierre Broodcoorens a réalisé des pièces de théâtre en vers blanc.
Le Poème du Rhône de Frédéric Mistral est entièrement écrit en vers blancs décasyllabes.
Christopher Marlowe (dramaturge et poète du XVIe siècle) passe pour le créateur de ce type de vers. En anglais, un blank verse désigne plus particulièrement un pentamètre iambique non rimé, c'est-à-dire un vers à cinq accents toniques sans rime. William Shakespeare l'a également utilisé ainsi que John Keats dans Hyperion.
Il s'agit de la forme utilisée par John Milton dans son œuvre Le Paradis perdu. Il explique ce choix dans un avant-propos de la deuxième édition, indiquant que selon lui « le vers héroïque anglais consiste dans la mesure sans rime, comme le vers d’Homère en grec et de Virgile en latin : la rime n’est ni une adjonction nécessaire ni le véritable ornement d’un poème ou de bons vers, spécialement dans un long ouvrage ; elle est l’invention d’un âge barbare, pour relever un méchant sujet ou un mètre boiteux. ».
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.